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Hey Snowballers,
Alors que le marché connaît quelques difficultés ces dernières semaines, il y a une statistique qui n’a pas arrêté de monter depuis le début de l’année : le nombre de transactions traitées par les L2. Ces réseaux de seconde couche viennent se greffer par-dessus Ethereum pour augmenter son débit. Là où Ethereum ne dépasse pas les 18 TPS (transactions par seconde), les L2 atteignent déjà les 300 TPS et promettent bientôt d’en traiter plusieurs milliers par seconde.
Mais parmi les dizaines de L2 qui existent, il y en a un qui se distingue. Un projet qui voit beaucoup plus grand avec la promesse d’atteindre les 100 000 TPS, rien que ça. Ce L2, c’est MegaETH.
À l’heure où des géants de la finance traditionnelle commencent sérieusement à s’intéresser aux cryptos, ces performances sont un enjeu important pour l’écosystème Ethereum, tout simplement parce que si des dizaines de millions de gens veulent utiliser ces technologies, il faut qu’elles aient la capacité de le supporter.
MegaETH est un premier pas dans cette course à la scalabilité. Comment MegaETH peut-il faire une telle promesse ? Sur quelles technologies repose le projet ? Quels sont les risques ? Opportunité ou pas ? Ce sont les questions auxquelles on va répondre aujourd’hui.
On commence sans plus tarder.