⌚️ [POWERED BY DIVERSIFIED] Cette semaine, c’est Diversified qui sponsorise Snowball. Diversified vous permet d’investir simplement dans des actifs alternatifs depuis votre smartphone à partir de 100 €. Vins, montres, whisky et bientôt de nouvelles classes d’actifs deviennent enfin accessibles au plus grand nombre. On vous offre 10 € pour votre premier investissement de 100 €.

👩‍🏫 Ce que vous allez apprendre dans cette édition en 15 minutes environ :

• ⚡️ Comment acheter des parts de Tesla Model 3 qui seront mises en location et recevoir une partie des revenus (ce ne sera pas une nouveauté pour les abonnés Snowball+).

• 🧼 Acheter des parts de machines à laver qui seront mises en location. Oui, oui, vous avez bien lu !

• 🛴 Acheter une trottinette ou un vélo en libre-service et recevoir une partie des revenus générés.

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Hey Snowballers !

Ici Yoann, j’espère que vous allez bien et que vous profitez du soleil, de la montagne, de la campagne ou d’un bureau plus calme :).

Du côté de Snowball, il y aura une newsletter mardi prochain, mais ce sera tout.

Pas d’autres newsletters (y compris les newsletters Snowball+) entre le 13 août et le 20 août inclus. Il faut bien qu’on se repose un peu nous aussi 😌.

Aujourd’hui, on va parler d’un sujet que j’adore dans les finances persos : les investissements un peu “what the f**k” qui sortent de l’ordinaire et qui consistent à financer des produits qui seront ensuite mis en location.

Bonus non négligeable : ces investissements peuvent avoir un impact positif sur le monde.

Je vais donc vous présenter 3 investissements qui rentrent dans cette catégorie :

• ⚡️ Acheter des parts de Tesla Model 3 qui seront mises en location et recevoir une partie des revenus (ce ne sera pas une nouveauté pour les abonnés Snowball+).

• 🧼 Acheter des parts de machines à laver qui seront mises en location. Oui, oui, vous avez bien lu !

• 🛴 Acheter une trottinette ou un vélo en libre-service et recevoir une partie des revenus générés.

Quand vous êtes une entreprise, il existe plusieurs moyens de se financer. Je ne vais pas tous les lister, mais voici les trois principaux :

• En mode startup, vous levez des fonds auprès d’investisseurs en capital-risque en échange de parts de votre société ;

• En mode boostrap, vous utilisez les revenus générés pour financer le développement de votre entreprise ;

• En mode TPE/PME, vous empruntez de l’argent auprès d’une banque.

Le mode boostrap fonctionne bien quand vous n’avez pas besoin de beaucoup de capital pour créer et vendre votre produit ou vos services. Par exemple, une agence de design peut plus facilement bootstrapper son activité qu’une entreprise qui veut lancer un nouveau type de réacteur à fusion nucléaire. En effet, l’agence n’a pas besoin de beaucoup de capital dès le début pour commencer à vendre ses services.

Par contre, cette startup qui développe un réacteur à fusion nucléaire aura besoin d’énormément de capital pour faire de la R&D (recherche et développement) avant de pouvoir vendre son premier réacteur. Souvent, ces entreprises iront voir des VC (venture capitalists) pour vendre des parts de leur boîte en échange de cash.

D’autres boîtes décident aussi de lever des fonds, même si elles pourraient être boostrappées afin d’accélérer leur développement. Par exemple, le célèbre logiciel Notion a longtemps été une entreprise autofinancée avant de lever des fonds afin d’accélérer sa croissance et de faire face à la concurrence directe d’autres acteurs.

Finalement, si vous n’avez pas besoin d’énormément de fonds et que votre modèle économique est bien connu et prévisible, il sera souvent plus simple de débuter en faisant un prêt bancaire. Par exemple, si vous voulez reprendre une petite usine de cuisine, vous n’allez pas voir des VC, mais plutôt une banque qui vous financera plus facilement.

Ces méthodes ont des avantages et des inconvénients :

• Levée de fonds avec VC → pression des investisseurs, temps parfois élevé pour convaincre les investisseurs, perte de contrôle potentiel avec le temps, etc. L’avantage est que vous pouvez potentiellement emprunter de grosses sommes et pas besoin de rembourser les investisseurs même si vous échouez.

• Boostrap → croissance souvent plus lente et ce type de financement ne s’applique pas forcément à tous les types de business. Du côté des avantages, on peut citer la tranquillité d’esprit ou encore le contrôle total de votre entreprise.

• Prêts bancaires → des banques parfois frileuses, des taux d’intérêt qui peuvent être élevés et évidemment, le fait de devoir rembourser le prêt. Du côté des avantages, c’est souvent plus rapide que d’aller lever des fonds et, surtout, souvent la seule solution pour certains types de business.

Pourquoi je vous parle de tout ça ? Parce que vous l’avez certainement deviné, il existe d’autres solutions et notamment une solution pour les entreprises qui louent des biens.

Il s’agit de demander à des particuliers comme vous et moi de financer les produits que vous allez mettre en location en échange d’une partie des revenus (voire d’un droit de propriété sur le produit en question) et non pas en échange de parts de l’entreprise.

Les avantages pour l’entreprise (liste non exhaustive) ?

• Pas besoin de vendre des parts de l’entreprise, donc pas de dilution et de perte de contrôle ;

• Pas besoin de rembourser l’argent prêté ;

• Plus rapide que de passer par une banque.

Les avantages pour les investisseurs (liste non exhaustive) ?

• Diversifier ses investissements ;

• Participer directement au développement de l’économie réelle ;

• Recevoir des revenus passifs ;

• Et d’autres, selon les entreprises.

J’adore vraiment ce genre de modèle à la fois pour les entrepreneuses et entrepreneurs, car il est plus flexible, mais aussi pour les investisseurs, car il permet de diversifier ses investissements d’une façon originale en ayant un impact positif.

Allons voir 3 opportunités similaires. Mais avant ça, explorons rapidement d’autres investissements alternatifs possibles…

💰 Vous voulez investir dans une montre de luxe, dans un grand cru ou dans d’autres produits luxueux sans avoir à sortir des milliers d’euros ? C’est possible.

Je répète souvent que nous avons la chance de vivre à une époque où la finance et les nouvelles technologies se rencontrent afin de rendre de nombreux investissements accessibles au plus grand nombre.

Il y a quelques années, il était impossible d’acheter des fractions d’actions. Pour se payer une action Nvidia, il faudrait débourser plus de 400 € avec un tel système ! Aujourd’hui, il est possible d’acheter seulement une fraction de cette action pour quelques euros.

Et cette révolution de l’investissement fractionné arrive en France dans l’univers du luxe grâce à notre sponsor du jour : Diversified.

Le concept est simple :

• Des experts sélectionnent des produits de luxe avec un rendement cible compris entre 8 et 20 % par an. Par exemple, actuellement vous pouvez investir dans une caisse de 24 bouteilles de Château Angélus ou encore dans une Rolex Cosmograph Daytona “Zenith”.

• Les produits sont fractionnés en parts de 10 €. Ces parts sont vendues à des dizaines de co-investisseurs. L’investissement minimum est de 100 €. Le tout depuis une app qui permet d’investir et de suivre vos investissements en temps réel.

• Les frais sont transparents et très bas : 5 % de frais d’entrée puis 1 % par an pour le stockage et l’assurance du produit. C’est tout.

• Les produits sont conservés entre 3 et 7 ans puis revendus au meilleur prix et les investisseurs récupèrent leurs plus-values. Mais attention, il existe aussi un risque de perte en capital.

• Et Diversified ne compte pas s’arrêter là ! Voici quelques projets : possibilité d’investir dans de nouveaux univers, lancement d’un marché secondaire pour revendre ses parts avant la vente du produit ou encore le versement de loyers.

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[Si vous êtes abonnés à Snowball+, vous avez déjà certainement vu passer ce projet il y a quelques semaines, vous pouvez passer au deuxième. 😉]

En Autriche, et plus particulièrement à Vienne, une entreprise nommée Eloop One a décidé de tokeniser 23 Tesla (21 Model 3 et 2 Model Y). Avant de continuer, définissons le mot tokenisation :

💡 Tokenisation : la tokenisation, c'est en gros, la conversion d'un droit de propriété sur un objet ou une ressource réelle (comme une œuvre d'art, un bien immobilier, ou une Tesla) en un token numérique sur la blockchain. Ces tokens numériques peuvent être achetés, vendus, échangés ou investis, tout comme n'importe quel autre actif numérique. Ils représentent une preuve de propriété ou un droit sur l'objet ou la ressource réelle qu'ils tokenisent.

Bref, c’est comme acheter une part d’une entreprise (une action) si on veut simplifier.

Et Eloop One donc ?

Eloop est une entreprise qui a été lancée il y a 6 ans et qui évolue dans le partage de voitures en libre-service. Un peu comme Virtuo en France, mais qui se focalise sur une flotte de Tesla à Vienne et à Munich.

Récemment, l’entreprise a donc décidé de lancer un nouveau service qui permet à des investisseurs d’acheter des parts de certaines de ses Tesla pour recevoir 50 % des revenus réalisés par ces dernières.

Voilà comment cela se passe concrètement :

• Eloop a acheté des centaines de Tesla pour les mettre en location. Acheter des voitures demande un capital relativement élevé surtout quand on parle de Tesla…

• Afin de diminuer ce coût fixe (c’est une supposition, je n’ai pas lu leur stratégie), Eloop décide de lancer Eloop One, un nouveau service qui permet à des investisseurs de devenir propriétaires de parts de Tesla.

• C’est l’entreprise Peaq qui a mis en place tout le système de tokenisation.

• Les tokens qui correspondent aux titres de propriété des Tesla sont sur la blockchain Polkadot.

• Les utilisateurs peuvent donc acheter ces tokens, ensuite ils signent un accord de propriété et finalement ils partagent avec Eloop tous les revenus supérieurs aux coûts opérationnels. Selon Eloop, le coût opérationnel pour faire tourner une Tesla pendant un mois est de 550 €. Tous les revenus qui dépassent cette somme seront donc partagés à 50/50 entre les propriétaires de tokens et Eloop.

• Dès qu’un utilisateur accumule au moins 10 €, il peut retirer l’argent en euros (pas en cryptos) ou alors utiliser cet argent pour louer une Tesla Eloop.

• Pour ce premier test, selon le site internet d’Eloop, 1 870 000 EOT (le nom des tokens qui signifie Eloop One Token) sont en vente et 98 % ou 1 837 450 ont déjà été vendus.

• 1 EOT = 1,2 €.

• Toutes les personnes qui possèdent des tokens EOT pourront accéder à toutes les datas de la plateforme pour savoir en temps réel les revenus générés et distribués :

J’ai moi-même testé l’inscription et vous pouvez le faire en tant que personne française.

Par exemple, après l’inscription, on peut voir que jusqu’à présent, les 23 Tesla ont généré 156 786 € de profits :

Pour pouvoir acheter des tokens, il faudra vérifier votre identité, car même s’il s’agit de tokens sur la blockchain, tout est extrêmement encadré dans le cadre de la réglementation européenne des “security tokens”.

Imaginez que vous êtes une entreprise qui souhaite louer des machines à laver à des particuliers plutôt que de les vendre. Avant de pouvoir rembourser une machine, il faudra attendre de longs mois.

Cela veut dire qu’il faut beaucoup de capital pour faire croître votre business et que le retour sur investissement est relativement long.

C’est justement ce que propose HomeCycle, une jeune entreprise française :

HomeCycle cherche donc à rendre l’accès à l’électroménager plus flexible, mais aussi à faire diminuer la pollution. Selon leur site :

La location permet également de rendre circulaire l'utilisation du produit, en contrôlant l'ensemble du cycle de vie de l'appareil. Homecycle assure ainsi la collecte, le nettoyage, la réparation et le reconditionnement des produits en fin de contrat, afin de les remettre sur le marché de la location.

En effet, toujours selon HomeCycle, 55 % des machines à laver tombent en panne dans les cinq ans (80 % pour certaines marques !) alors que 60 % de ces pannes pourraient être évitées avec un entretien de base !

Et récemment, HomeCycle s’est associée à erable pour permettre à des investisseuses et investisseurs comme vous et moi de financer 200 machines à laver.

Le principe est extrêmement simple :

1. Une vente de NFT va venir financer un fonds qui sera destiné à acheter les machines à laver.

2. Une fois le montant atteint, HomeCycle achète les machines à laver.

3. Elles sont louées sur des périodes de 6, 12, 18 ou 24 mois et elles génèrent des revenus pour HomeCycle.

4. 35 % des revenus générés par les 200 machines sont redistribués au fonds et chaque personne qui détient un ou plusieurs NFT peut décider de récupérer son argent en “brûlant” (détruisant) son NFT.

5. Vous pourrez aussi revendre vos NFT sur un marché secondaire plus tard.

La vente de ces NFT est en cours et elle devrait prendre fin le 30 janvier 2024. Un NFT coûte, à l’heure où j’écris ces quelques lignes, 140 MATIC (le token de la blockchain Polygon) ou environ 85 €. Sur les 650 NFT disponibles, 124 ont déjà été vendus (mintés, dans le jargon) :

Mon point de vue : j’aime beaucoup ce projet qui, comme Eloop One, est un projet web3, mais basé sur une entreprise avec un impact sur l’économie réelle. Les risques existent évidemment, donc ne pensez pas qu’il s’agit d’un coup sûr ! Les machines peuvent être détruites ou bien des hacks peuvent avoir lieu.

Et pour les personnes un peu frileuses avec l’univers du web3, c’est potentiellement la bonne occasion de faire un petit test et de se lancer :).

Si vous voulez en savoir plus sur le projet, je vous conseille de regarder ce replay :

Pour terminer, nous allons explorer un peu Pony, une startup française qui propose une flotte de trottinettes et de vélos disponibles en libre-service.

Selon leur site, même Xavier Niel est convaincu du potentiel :

Ce secteur me semble très compliqué, car de nombreuses entreprises ont utilisé une stratégie à la Uber : dépenser un max de thunes pour prendre un maximum de parts de marché le plus rapidement possible afin de devenir le leader, puis augmenter les prix par la suite.

J’ai l’impression que ça a été un bain de sang encore plus violent qu’à l’époque des VTC. De nombreux acteurs ont rapidement disparu et d’autres se sont fait racheter à des valorisations très basses.

Tout ça pour vous dire que Pony semble emprunter un chemin de croissance plus sain qui permet de créer une forme de stabilité que d’autres startups n’ont pas réussi à atteindre.

La preuve : l’entreprise, créée à Bordeaux en 2018 par Paul-Adrien Cormerais et Clara Vaisse, a levé 6 millions d’euros en 2023 dans un contexte de levées de fonds difficiles et elle a multiplié son chiffre d’affaires par 10 entre 2019 et 2022 grâce à ce modèle économique original que nous allons explorer.

Les services de Pony sont présents dans 15 villes européennes comme Bruxelles, Angers, Bourges, Lorient ou encore Lièges. Fun fact : Pony est la seule société française du secteur.

Et c’est également (selon ses dires) la seule société au monde à proposer un modèle de financement participatif.

Et c’est donc là que nous arrivons au sujet du jour.

En effet, via le programme Adopt a pony, Pony vous permet d’acheter une trottinette ou encore un vélo pour ensuite les mettre en location sur leur réseau et récupérer une partie des revenus générés.

Le modèle est donc très simple :

• Vous pouvez participer aux ventes Adopt a pony pour financer une trottinette ou un vélo. Dernièrement, Pony a sorti un vélo électrique 2 places (une autre preuve de la capacité de l’entreprise à innover).

• Une trottinette coûte environ 1200 €.

• Et un vélo double, 2500 €.

Pony vous partage le nombre moyen de trajets ainsi que le prix moyen d’un trajet.

• De votre côté, vous récupérez 35 % du prix d’un trajet.

  Si une trot’ réalise 2,5 trajets par jour en moyenne d’une valeur de 2,7 € HT, cela veut dire que vous gagnez donc 2,5 x 2,7 € = 6,75 € x 35 % = 2,36 € par jour ou environ 71 € par mois.

• Une trottinette est donc remboursée au bout d’environ 17 mois et ensuite c’est tout bénef, sachant que la durée du contrat commercial est de 4 ans (mais vous pouvez continuer de louer votre véhicule même après ces 4 ans).

• Pendant ces 4 ans, Pony s’engage à :

  • Entretenir et recharger le pony ;

  • Remplacer votre pony en cas de gros dommage ou de vol.

• Sur ces 4 années, votre pony trottinette peut donc vous rapporter au minimum 31 mois (48 mois de contrat commercial - 17 mois pour amortir l’achat) x 71 €, donc 2201 € pour un investissement de 1180 €.

• J’ai beaucoup simplifié les calculs notamment au niveau de la TVA, tout ça pour vous donner un ordre de grandeur et vous montrer que cela peut vite devenir rentable.

Et que se passe-t-il à la fin du contrat commercial ? Trois options :

1. Vous continuez de louer votre pony sur le réseau, mais s’il est volé ou fortement endommagé, il ne sera ni remplacé ni réparé ;

2. Vous privatisez votre pony. Dans ce cas, il faudra acheter une batterie et un chargeur ;

3. Vous donnez votre pony à l’entreprise pour qu’elle le recycle et vous bénéficiez de 200 € de réduction sur votre prochaine adoption.

Mon point de vue : j’adore vraiment ce modèle et le côté croissance saine de l’entreprise. Contrairement à d’autres startups qui étaient en mode bulldozer, Pony s’installe seulement dans des villes où l’entreprise a gagné un appel d’offres officiel. J’ai eu l’occasion de discuter avec Paul-Adrien, un des cofondateurs, qui est très sympa et qui semble extrêmement optimiste et enthousiaste quant au futur de l’entreprise. Le seul bémol, c’est que les vélos et les trottinettes partent vite et qu’il n’y a pas beaucoup d’offres. Le mieux est de s’inscrire à leur mailing liste pour être tenu au courant des futures ventes.

J’aime aussi beaucoup le fait de pouvoir :

• Privatiser votre pony librement. Si vous en avez besoin un week-end complet, vous pouvez couper les locations. C’est vraiment votre véhicule.

• Offrir des trajets gratos à vos potes.

• Payer moins cher si jamais vous utilisez des pony qui sont loin de chez vous.

J’espère que cette édition vous a plu et qu’elle vous a fait découvrir de nouvelles façons d’investir.

Étant un peu un geek de tous ces nouveaux services qui permettent de facilement partager la valeur créée par des biens ou des services de façon plus simple qu’auparavant, je trouve ces modèles extrêmement intéressants !

En effet, avant, c’était surtout les banques et les investisseurs plutôt fortunés qui profitaient de ce genre de services en devenant les financiers de ces derniers. Sauf qu’aujourd’hui, les nouvelles technologies permettent à des centaines, voire des milliers de personnes de remplacer les banques et les investisseurs institutionnels. Nous sommes encore loin d’un bouleversement dramatique des moyens de financement, mais c’est un pas en avant. Et cela rejoint aussi ce que disait BlackRock, l’entreprise spécialisée dans la gestion d’actifs : la baisse du pouvoir de monopole des banques…

Bien évidemment, ce type d’investissement reste toujours risqué et il faut bien diversifier pour éviter les mauvaises surprises.

De plus, ces investissements alternatifs ne doivent pas représenter une trop grosse portion de votre portefeuille global.