❄️💰 Transformer 1000 $ en 4 milliards de $ en 30 ans
C'est possible et Jim Simons l'a fait. Comment ?
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👩🏫 Ce que vous allez apprendre dans cette édition :
📈 Comment cet investisseur de génie a-t-il réussi à transformer 1000 dollars en plus de 4 milliards de dollars en 30 ans ?
🙅♂️ Pourquoi ne recrutait-il que des scientifiques et aucune personne issue de business schools ?
💻 Comment a-t-il utilisé les ordinateurs et les algorithmes pour devenir l’un des meilleurs investisseurs de tous les temps ?
💡 Quelles leçons peut-on en tirer ?
⏱ Temps de lecture : 10 minutes.
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Hey Snowballers !
Ici Yoann, j’espère que vous allez bien et que vous avez passé un bon mardi !
Aujourd’hui, nous n’allons pas parler d’un concept ou d’un produit financier, mais d’une légende de l’univers de la finance.
Une légende qui nous a récemment quittés à l’âge de 86 ans et qui a réussi à dompter les marchés comme personne : Jim Simons.
À côté, Warren Buffet est un petit joueur (j’exagère un peu, mais pas tant que ça)…
Si vous aviez investi 1000 dollars dans le fonds Medallion de Jim en 1988, vous auriez plus de 4 milliards de dollars en 2018 (4 010 907 452,46 $ pour être précis, mais brut, avant les frais).
On parle donc d’un retour moyen de 66 % brut par an entre 1988 et 2018 alors que le S&P 500 – l’indice des 500 plus grosses entreprises américaines pour faire simple – n’a rapporté « que » 11 % par an sur la même période (ce qui est déjà énorme).
On va tenter de découvrir les secrets de Jim Simons pour voir ce qu’on peut en tirer à notre petite échelle.
💳 Mais avant de commencer, je voudrais vous parler d’un nouveau partenaire que j’adore (et qui va me pousser à augmenter ma collection de cartes bancaires). 😅
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Un peu comme l’IA, je suis persuadé que l’univers des cryptos va tendre à se développer de plus en plus et qu’il faut commencer à adopter ses codes et à apprivoiser cet univers.
Pas évident quand on voit le nombre de plateformes disponibles et quand on voit certaines banques françaises souvent freiner des quatre fers en vous empêchant d’investir en cryptos. De plus, aucun compte courant français n’accepte aujourd’hui les cryptos… Enfin, « n’acceptait », devrais-je dire… Je vous présente Deblock :
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Deblock est bien évidemment réglementée par l’Autorité des marchés financiers (AMF) et l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution).
L’entreprise est soutenue par de grands noms comme Kraken Ventures et a été lancée par des cracks du secteur comme Adriana, ex-directrice des opérations de Revolut Bank, Jean, l’ex-responsable des cryptos de Revolut, Mario, ex-responsable technique chez Ledger et Aaron, l’ex-directeur des paiements chez Revolut. Bref, vous êtes entre de bonnes mains !
P.S. Comme toujours, investir dans des cryptos comporte un risque de perte en capital. Soyez vigilants.
Quand 1000 $ se transforment en plus de 4 milliards de dollars en 30 ans. La folle histoire de Jim Simons…
Introduction
Jim (enfin son vrai prénom, c’est James) Simons, c’est lui :
J’ai mis une photo de lui avec une clope, car c’était un gros fumeur et une légende urbaine raconte qu’il aurait acheté un immeuble 150 millions de dollars, juste pour pouvoir fumer à l’intérieur… Je n’ai trouvé aucune source fiable à ce sujet donc je doute, mais cette anecdote illustre bien l’homme qui s’en foutait un peu de fumer pendant des meetings ou des conférences…
Jim Simons nous a quittés le 10 mai 2024 à l’âge de 86 ans.
Selon Forbes, il pesait plus de 31 milliards de dollars lors de sa mort.
Mais qui est cet investisseur qu’on qualifie du meilleur investisseur de tous les temps ? Même devant Warren Buffet.
James Harris Simons est né le 25 avril 1938 dans le Massachusetts aux États-Unis.
Après l’obtention de son doctorat en mathématiques (géométrie) à Berkeley à l’âge de 23 ans, le fils unique de Marcia et Matthew Simons va travailler pour la NSA (National Security Agency) afin de déchiffrer des codes secrets soviétiques, puis dans le département recherche d’une des branches de la défense américaine. À côté de cela, il va enseigner les mathématiques au MIT et à Harvard.
En 1968, il est forcé de quitter son poste au sein du gouvernement américain, car il est contre la guerre du Vietnam. Il rejoindra donc l’université Stony Brooke entre 1968 et 1978.
Dans la communauté scientifique, il est connu pour avoir co-développé la théorie de Chern-Simons, qui est utilisée dans la physique théorique moderne.
Mais en 1978, Jim décide d’utiliser ses compétences en maths pour faire de la thune. Beaucoup de thune.
Il crée donc le hedge fund Monometrics en 1978.
Ce dernier sera rebaptisé Renaissance Technologies en 1988.
Mais qu’est-ce qu’un hedge fund au fait ?
hedge fund : pour faire simple, c’est un fonds d’investissement privé qui utilise diverses stratégies pour obtenir des rendements élevés pour ses investisseurs. Ces stratégies peuvent inclure l’utilisation de l’effet de levier, les ventes à découvert, les produits dérivés et d’autres techniques financières avancées comme l’utilisation d’algorithmes de trading complexes. Les hedge funds sont souvent accessibles uniquement aux investisseurs qualifiés ou institutionnels en raison de leur risque élevé et de leur complexité.
À l’intérieur de Renaissance Technologies ou RenTech pour les intimes, il existe plusieurs fonds dont le plus connu de tous (et le premier établi) est le Medallion Fund. C’est ce dernier qui a rapporté une moyenne de 66 % par an entre 1988 et 2018.
Bon, après les diverses commissions prélevées par RenTech, on tombe à une moyenne de 39 % par an. C’est toujours gigantesque.
C’est à la fin de 2009 que Simons lâche les rênes de l’entreprise et qu’il prend sa retraite.
Aujourd’hui, nous allons nous focaliser seulement sur le Medallion Fund et nous allons tenter de découvrir les secrets qui se cachent derrière ce succès.
Spoiler alert : vous n’arriverez certainement jamais à faire aussi bien que Jim sur une si longue période.
Mais avant de continuer, est-ce que vous aimeriez investir tout en ayant un impact et en obtenant jusqu’à 10 % de rendement par an ?
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P.S. Investir présente un risque de perte en capital. Diversifiez vos investissements.
400 millions de pour cent de croissance pour le Medallion Fund en 30 ans. Comment est-ce possible ?
401 090 645,25 % pour être précis.
Attention, je parle des rendements bruts entre 1988 et 2018 et non pas des rendements après les diverses commissions prélevées par RenTech.
Mais quand même !
C’est donc à l’âge de 40 ans que Jim décide d’ouvrir un bureau dans un centre commercial de Long Island et cherche à démontrer que le trading de matières premières, de devises, d’actions et d’obligations pouvait être presque aussi prévisible que le calcul et les équations différentielles partielles.
Son premier secret : écarter les analystes financiers et les diplômés de business schools. Il n’embauche que des mathématiciens et des scientifiques
Grâce à cette approche, le Medallion Fund va générer 100 milliards de dollars de profits en 30 ans !
💡 Point à retenir selon moi : cela montre que vous n’êtes pas obligés d’être des experts de la finance pour vous en sortir. Alors oui, les employés de RenTech sont toutes et tous des têtes, mais ils n’ont pas reçu de formation en éco ou en finance. Ils ont appris sur le tas et se sont servis d’autres compétences pour réussir.
Son deuxième secret : data, data, data, data
Au tout début de RenTech, la team de Simons se focalisait seulement sur le trading de matières premières et de devises.
En gros, ils faisaient des paris sur la hausse ou la chute des devises et des matières premières pour gagner de l’argent.
Il faut savoir que les prix des matières premières et des devises sont fortement influencés par plein de choses comme la météo ou encore la politique.
L’équipe de Simons s’est donc mise à récupérer un max de données : actualités dans des petits pays africains, stats de banques asiatiques, le prix des patates au Pérou, la météo en Europe de l’Est…
Toutes ces datas étaient ensuite analysées par des algorithmes afin de prévoir le prix des matières premières et des devises et beaucoup de trades (achats et reventes de produits financiers) étaient automatisés par de complexes programmes informatiques.
C’est ce qu’on appelle le quantitative trading. Ce type de trading n’était pas du tout à la mode à l’époque, mais il représente aujourd’hui environ 30 % des transactions.
Et ça a fonctionné ! RenTech a généré d’énormes retours grâce à cette stratégie.
Fun fact : à un moment, les algorithmes de RenTech ont acheté tellement de futures (un produit financier) de patates du Maine (un État américain) que l’entreprise contrôlait quasiment l’intégralité du marché. La Commodity Futures Trading Commission s’est opposée et RenTech a dû vendre toutes ses positions et dire au revoir à de gros profits.
💡 Point à retenir selon moi : connaître un produit ou une entreprise sur le bout des doigts est important, mais connaître les différents facteurs qui peuvent affecter le prix de ces derniers est tout aussi important. Ce n’est pas pour rien que je ne parle pas que de finance sur Snowball, mais aussi de tendances par exemple.
Collecter des datas qui peuvent influencer vos investissements ou du moins garder un œil sur ces dernières est très important, surtout si vous faites du trading actif (achats/reventes réguliers de produits financiers).
Renaissance a commencé à collecter des données sur les cours des actions, de l’or et autres au début des années 80. Et pas qu’un peu ! Certaines de ces données remontent aux années 1700.
Ces données sont un avantage concurrentiel non négligeable et difficile à répliquer pour un nouvel entrant.
Son troisième secret : l’humain et le recrutement
Très lié au premier secret.
RenTech recrutait rarement des personnes pour un poste ouvert. Simons recrutait juste des talents exceptionnels et rares et il se disait que leurs talents de scientifiques permettraient certainement d’améliorer les algos de trading de son hedge fund.
Grâce à sa notoriété, RenTech pouvait recruter les meilleurs talents. Seules les grosses boîtes tech comme Google, Apple ou Microsoft pouvaient rivaliser.
De plus, il faut savoir que le fonds Medallion n’était accessible qu’aux employés et anciens employés de l’entreprise, pas au public. Cela permettait de booster l’acquisition de nouveaux employés, mais aussi la rétention. Pourquoi aller ailleurs si vous travaillez pour un fonds qui vous rapporte des millions par an ?
Jim Simons était également un génie qui savait manager des génies.
Pour finir, Simons a mis en place une organisation horizontale sans trop de management. Les employés partageaient des projets et collaboraient beaucoup. Il n’y avait pas de silos. Même si RenTech était très opaque de l’extérieur, en interne c’était très transparent. Même les juniors pouvaient accéder au code de trading ultrasecret de la société. « La chose la plus importante que nous ayons faite, c’est d’avoir une atmosphère ouverte », a déclaré M. Simons lors d’une conférence au Massachusetts Institute of Technology en 2010 via le Wall Street Journal. « Tout le monde sait ce que font les autres. »
Il faut aussi savoir que les employés étaient plutôt récompensés en équipe par rapport aux performances du Medallion Fund. Cela mettait un focus sur le travail d’équipe et non le côté individuel qu’on peut retrouver dans la plupart des fonds de Wall Street ou ailleurs.
💡 Point à retenir selon moi : que vous investissiez dans une startup, un projet crypto, un fonds d’investissement ou un hedge fund, regardez qui sont les humains qui se cachent derrière et comment ils sont organisés. Une grande partie de la réussite dépendra de ces derniers.
Son quatrième secret : des techniques de trading sophistiquées et une taille « maîtrisée »
Très tôt, les employés ont développé des modèles mathématiques pour prédire l’impact que les trades de l’entreprise auraient sur le marché.
En gros, s’ils achètent ou vendent x millions de tel ou tel produit, quel sera l’impact sur le marché ?
Grâce à ça, RenTech peut prévoir de façon précise quel est le coût d’un trade.
De plus, pendant de nombreuses années, la taille du fonds Medallion était limitée à 10 milliards de dollars (cela veut donc dire que de l’argent sortait régulièrement du fonds). Mais pourquoi ?
Plus vous avez d’argent à investir, plus cela devient complexe et difficile de faire de bons coups. C’est d’ailleurs Warren Buffet qui dit qu’il préfère avoir quelques millions à investir que plusieurs dizaines de milliards.
Le système de trading de Simons se concentre sur les relations entre les investissements. Il arrivait à découvrir des relations entre différents actifs, même lorsqu’il était impossible d’expliquer pourquoi de façon rationnelle.
Il s’est également spécialisé dans le « hedged trading », avec une exposition minimale à l’ensemble du marché. Cela lui permettait de réaliser des profits importants (et d’éviter de grosses pertes) sur des marchés volatils ou en chute libre.
Jim nous dit :
J’ai développé l’idée que les marchés n’étaient pas aléatoires et qu’ils étaient, dans une certaine mesure, prévisibles. […] Il y avait des anomalies statistiques qui pouvaient être exploitées. – Wall Street Journal.
En effet, au début, comme la plupart des traders, il se basait sur les fondamentaux des produits. Un exemple : si l’inflation grimpe, les gens achètent de l’or.
Le problème selon Simons, c’est que les fondamentaux peuvent bouger très rapidement. Et ça le stressait beaucoup.
Un jour, vous êtes un génie, le lendemain, vous avez l’impression d’être un idiot. Le trading fondamental m’a donné des ulcères.
Quelques fun facts sur le fonds Medallion et Jim Simons
Jim Simons est connu pour sa préférence à ne pas porter de chaussettes, même dans des environnements formels ou pros. 🤷♂️
Leurs algorithmes gagnaient de l’argent seulement environ 51 % du temps et c’était suffisant pour réussir. Ils ont réussi grâce aux sommes importantes qu’ils ont investies et au fait qu’ils pouvaient emprunter beaucoup d’argent avec beaucoup d’effets de levier. Un peu comme si votre banque vous prêtez de l’argent à volonté, car vous avez prouvé que vous êtes un ou une investisseuse hors pair.
Jim Simons a commencé ce fonds alors qu’il avait la quarantaine… Comme quoi… Il n’est jamais trop tard, hein.
Au début, le Medallion Fund a bien galéré et n’arrivait pas à être rentable malgré les mathématiciens de génie qui étaient dans l’équipe. C’est grâce à Elwyn Berlekamp, un spécialiste de la théorie des jeux, que le Medallion Fund a commencé à générer beaucoup de rendements (55 % nets en 1990). Mais Berlekamp a démissionné quelques années après, car Simons lui mettait trop la pression.
L’année 2000 a été la meilleure année du fonds avec 98,5 % de rendement après les diverses commissions.
Le fonds a perdu de l’argent une seule fois depuis son existence, en 1989.
Pour accéder aux performances incroyables de ce fonds, il faut payer d’énormes commissions et autres frais. Dans l’industrie des hedge funds, en général, les frais sont les suivants : 2 % de frais de gestion par an et 20 % de commission sur la performance. Pour le Medallion Fund : 5 % de frais de gestion par an et 44 % de commission sur la performance ! Malgré ces frais gigantesques, les investisseurs gagnaient plus d’argent que s’ils avaient placé ailleurs.
Ce système est dingue, car ça veut dire que si en 1988 vous aviez placé 1 million de dollars dans le Medallion Fund vous auriez 15,8 millions à la fin de l’année 1997 et le Medallion Fund aurait récupéré 15,9 millions de dollars de frais !
Conclusion
J’espère que cette édition un peu différente vous a plu.
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Bonne soirée !
Yoann ❤️
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Heureusement qu'il ne s'est lancé qu'après 40 ans : si sa carrière avait eu la longévité de celle de Buffett, il aurait fini par peser le PIB d'un pays du G20 à lui tout seul 😅
J'ai adoré cette newsletter elle était vraiment top et hyper bien rédigée, merci beaucoup