☝️☝️ Pour rappel, après avoir lu cette édition, si le contenu vous plaît, n’oubliez pas de laisser un petit ❤️ en cliquant sur ce dernier à côté de ma p’tite tête sous le titre de cette édition. ☝️ Cela me permet de jauger les sujets qui vous intéressent et ça fait aussi plaisir 😇. Et en plus de tout ça, ça apprend aux boîtes mails de ne pas envoyer Snowball en Spam.

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Hey Snowballers !

J’espère que vous avez passé un excellent week-end ! De mon côté je suis toujours de l’autre côté de l’Atlantique. En ce moment, à Los Angeles après un petit stop à Sin City aussi connue sous le nom de Las Vegas. Non, promis, je n’ai pas dépensé la levée de fonds Snowball au casino…

Cette semaine, c’est un peu la cata partout. Les marchés se sont écroulés entre jeudi et vendredi. -6 % pour le Nasdaq (ouch), -4 % pour le S&P 500 et le CAC 40 vendredi soir. Retour sur les événements très étranges :

1. Il y a eu un énorme gain mercredi, suite à l’annonce de la FED de la hausse des taux d’intérêt de 0,5 % et le boss de la Fed qui nous dit qu’il ne sera pas trop agressif. Cela a rassuré les investisseurs, donc ils se sont jetés sur les actions.

2. Puis un gros sell-off des actions (vente en masse dans le jargon de Wall Street) jeudi et vendredi dernier. Le Nasdaq a même connu sa pire journée depuis 2 ans ! Jeudi, 90 % des actions du S&P 500 étaient dans le rouge.

Voir un tel rebond suivi d’une chute encore plus brutale le lendemain est exceptionnel. Pourquoi ? Dur à dire, mais il semblerait que les investisseurs soient toujours stressés par rapport à une banque centrale américaine qui pourrait devenir de plus en plus agressive avec les taux d’intérêt (hausse) pour combattre l’inflation galopante. Cette hausse des taux n’est pas tip top pour les investisseurs dans les actions (pas toutes, mais beaucoup) et c’est pour cette raison qu’ils se réfugient sur d’autres actifs.

Le bitcoin et la majorité des autres cryptos étant extrêmement corrélés aux marchés traditionnels ont aussi vu leur valeur chuter violemment. Le bitcoin est passé sous la barre des 35 000 dollars.

Que faire ? Si vous êtes là pour du long terme, gardez votre sang-froid, ne vendez pas dans la panique et continuez d’investir régulièrement.

Cette semaine, la newsletter est rédigée par 4 incroyables membres de la communauté Snowball qui vont nous parler de sujets au top ! Perso, j’ai appris plein de choses !

• Investir dans des boîtes US grâce à son PEA (une coquille qui vous permet de stocker des actions pour payer moins d’impôts après plusieurs années), par Mathieu.

  • Mathieu Bouchant, auteur de la newsletter du Fortress Club dans laquelle il partage chaque semaine ses idées d’investissement en Bourse avec un angle fondamental. Si vous voulez vous inscrire à sa newsletter, c’est par ici.

• Les difficultés grandissantes pour de nombreuses Françaises et Français à accéder aux prêts immobiliers, par Damien Gane.

• Le Gender Lens Investing, la Femtech et les outils de finances persos dédiées aux femmes, par Dorothy qui lance d’ailleurs un projet entrepreneurial Women and Money.

• Focus sur RTFKT, le studio de Sneakers sous forme de NFTs racheté par Nike récemment, par Johann Bonfils, directeur artistique, fondateur du studio graphique 93bis.com et de l’agence de création locale Les Baous.

Comme je disais, ça n’a pas été joli sur la fin de la semaine, surtout pour la tech ; mais sur la semaine, c’est moins catastrophique :

C’est aussi très rouge dans l’univers des cryptos qui suit la chute de Wall Street :

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• Snowpick de la semaine : Accenture.

• Open Mic : Pas cette semaine.

• Cette semaine en finance :

  • [PEA x USA] Investir depuis votre PEA dans le champion américain des services de consulting.

• Cette semaine en économie :

  • [PRÊTS IMMO] Augmentation des taux bancaires + taux d’usure bas = effet boule de neige négatif pour les acquéreurs ?

• Tendances :

  • [🙋‍♀️🙋‍♀️🙋‍♀️] Gender Lens Investing, Femtech, et quelques outils de finances personnelles destinés à un public féminin.

• Cette semaine dans le monde des cryptos :

  • [META-SNEAKERS] Le studio RTFKT, de la Fewo Shoe à la Nike Dunk Genesis Cryptokicks.

• Du côté de la communauté.

Allons-y !

J’ai un peu de retard sur les derniers Snowpicks. Je fais une mise à jour de l’app semaine pro pour les intégrer. Mais les Snowpicks des semaines passées sont accessibles dans l’app Snowball.

Cette semaine, c’est Mathieu Bouchant qui prend le contrôle de cette partie ! Mathieu est l’auteur de la newsletter du Fortress Club dans laquelle il partage chaque semaine ses idées d’investissement en Bourse avec un angle fondamental.

Pour recevoir sa newsletter, c’est par ici. 👇

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• Peu de gens le savent, mais près de 85 actions cotées aux États-Unis sont éligibles au PEA. Il y a parmi ces actions des fleurons qui peuvent vous intéresser pour diversifier votre portefeuille.

• Accenture est un très bel exemple de fleuron américain éligible au PEA. C’est le leader mondial des prestations de conseil en technologie. Le groupe emploie près de 700 000 consultants dans le monde et affiche en Bourse une performance de +14,28 %/an sur les 20 dernières années.

• Accenture semble parfaitement positionné pour profiter de la demande croissante de services de conseil en transformation numérique. La crise du covid a donné un véritable coup de boost à cette tendance. Le contexte inflationniste actuel devrait lui aussi pousser les entreprises ou administrations à chercher à être plus efficaces. En conséquence, le groupe devrait afficher une forte croissance sur les prochaines années et continuer de gagner des parts de marché.

• Acheter des actions Accenture, c’est un peu comme investir dans un ETF « transformation digitale » qui permet de jouer l’adaptation continue de notre monde à toutes les nouveautés digitales qui permettent d’améliorer la productivité ou de faciliter le travail en organisation.

Peu de gens le savent, mais il est possible d’acheter certaines actions américaines depuis un PEA (Plan d’épargne en actions). Je ne suis pas en train de parler d’un ETF sur le S&P500 ou le Nasdaq, mais bien de certaines actions cotées sur le NYSE ou le Nasdaq… La faille ? Pour être éligible au PEA, « Les sociétés émettrices de ces titres doivent avoir leur siège dans l’Union européenne ou dans un État de l’Espace économique européen (EEE) » (AMF).

Or, il se trouve que certaines sociétés cotées aux États-Unis ont leur siège fiscal en Europe, généralement dans des pays ayant une fiscalité avantageuse. C’est par exemple le cas de Spotify, qui est cotée aux États-Unis, mais qui a son siège fiscal au Luxembourg.