❄️🖼️ Investir dans un Warhol ou un Soulages et obtenir 12 % à 20 % de rendement
Sans être millionnaire !
[POWERED BY MATIS] Vous avez toujours rêvé d'investir dans l'art, mais ce marché est trop opaque pour vous ? Matis est un des pionniers français qui vous permet d'investir dans des œuvres d'art de grands peintres et d'obtenir des rendements compris entre 12 % et 20 %. Et pas besoin d'être millionnaire. 😉
👩🏫 Ce que vous allez apprendre dans cette édition :
🖼️ Une petite histoire du marché de l’art.
🤑 Pourquoi investir dans l’art peut être intéressant non seulement pour diversifier votre portefeuille, mais aussi pour le booster.
😭 Pourquoi c’est un marché si complexe et réservé à des initiés.
🇫🇷 Comment un acteur français comme Matis permet de faciliter l’accès à ces investissements grâce à la technologie.
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Hey Snowballers,
Aujourd’hui, nous allons nous intéresser à un marché qui fait rêver et que tout le monde connaît de nom, mais sans trop savoir comment il fonctionne : le marché de l’art.
N’étant pas un grand spécialiste du sujet, je me suis associé à l’entreprise française Matis, spécialisée dans l’investissement dans l’art, pour vous parler de cet univers passionnant et de comment Matis tente de le révolutionner.
⚡️ Vous n’avez pas le temps de tout lire, voici un petit résumé 👇
Le marché de l'art contemporain a surperformé le S&P 500 (indice des 500 plus grosses entreprises américaines cotées en bourse) ces 20 dernières années. Il offre donc un potentiel de rendement attractif pour les investisseurs.
L'art présente plusieurs avantages en tant qu'investissement :
Diversification du portefeuille ;
Décorrélation avec les marchés financiers traditionnels ;
Protection potentielle contre l'inflation ;
Traitement fiscal avantageux en France si vous achetez des œuvres directement (TVA réduite, exonération d'IFI).
Mais cela reste un marché opaque et difficile à pénétrer pour le commun des mortels comme vous et moi.
Matis, entreprise française fondée en 2023, tente de dépoussiérer cet univers de l'investissement dans l'art contemporain tout en le rendant plus accessible via ce qu’on appelle des club deals :
Matis sélectionne des œuvres d'artistes majeurs du XXe siècle (de plusieurs centaines de milliers d’euros à plusieurs millions).
Horizon d'investissement cible de 24 mois. C’est-à-dire que Matis va essayer de revendre le tableau dans les deux ans grâce à son réseau.
Rendement visé entre 12 % et 20 % (non garanti).
Comment fonctionne Matis concrètement ?
Création d'une société (SAS) pour chaque œuvre. Cette SAS va acquérir l'œuvre.
Investissement via des obligations convertibles.
Dépôt des œuvres dans des galeries renommées pour la revente.
Partage de la plus-value à la cession.
L'investissement dans l'art reste risqué et moins liquide que les actifs financiers traditionnels. Il est recommandé d'avoir déjà un portefeuille diversifié et une épargne de précaution solide avant de s'y engager.
Si ce sujet vous intéresse, on en parle plus en détail ci-dessous et si vous voulez investir avec Matis, c’est par ici :
🖼️ Investir dans un Warhol ou un Soulages et obtenir 12 % à 20 % de rendement
Introduction
Qui n’a jamais rêvé de posséder un Warhol ou un Soulages ?
Qui n’a jamais rêvé d’associer plaisir, passion et investissement ?
Les actions ou une assurance-vie, c’est bien beau, mais ça manque un peu de concret et d’esthétique, non ?
Depuis toujours, je suis passionné par les objets de collection en tout genre, y compris l’art. Mais j’avoue que, par manque de temps et de compétences, je n’ai jamais trop creusé.
De plus, j’ai toujours eu l’impression qu’il s’agissait d’un marché d’initiés et d’experts et que sans vraiment s’y intéresser à fond, ben on ne pouvait pas trop percer ses secrets. Ce qui, en soi, n’est pas totalement faux…
De ce fait, pendant longtemps, le marché de l’art et l’art en tant qu’investissement stratégique pour diversifier son portefeuille étaient réservés aux personnes les plus fortunées qui pouvaient engager des experts pour les aider.
Mais c’est en train de changer grâce à des acteurs comme Matis.
Avant de nous intéresser à cette entreprise, commençons par un petit historique du marché de l’art.
Petite histoire du marché de l’art tel que nous le connaissons aujourd’hui
Le marché secondaire de l'art tel que nous le connaissons aujourd'hui aurait pris ses formes dans les années 1600 dans la république des sept Provinces-Unies des Pays-Bas, la nation la plus riche de l'époque.
💡 Marché secondaire : revente d'une œuvre qui a déjà été vendue sur le marché primaire (c'est-à-dire vendue directement par l'artiste).
Les marchands qui vendaient de nombreux biens tels que des meubles ou des vêtements proposaient souvent des peintures et des sculptures. La popularité croissante de ces objets de collection et leur prise de valeur a conduit les marchands à se spécialiser dans la vente d'œuvres d'art, ce qui a donné naissance à la profession de marchand d'art.
Au XVIIIe siècle, les premières maisons de ventes aux enchères comme Christie's (1766) et Sotheby's (1744) émergent à Londres. Ces institutions ont joué un rôle crucial dans la valorisation et la commercialisation des œuvres d'art. D'abord des antiquités, puis des tableaux.
D’ailleurs, vous savez pourquoi il y a un ‘s à la fin des noms de ces maisons de ventes aux enchères ?
Ces maisons de ventes aux enchères portent le nom de leurs fondateurs — James Christie et Samuel Baker (plus tard associé à John Sotheby). Le 's indique la possession ou l'appartenance. Donc, Christie's signifie littéralement "la maison de ventes aux enchères de Christie".
C’est la même chose pour McDonald’s (mais un peu moins prestigieux…).
Bref…
Un peu plus tard, Pierre Durand-Ruel (1831-1922), propriétaire d'une galerie parisienne, s'intéresse à l'impressionnisme. Pour promouvoir ce nouveau mouvement, il commence à présenter des œuvres de jeunes artistes inconnus. Il est le premier marchand d'art à apprécier l'avant-garde et à promouvoir les jeunes talents en prenant en charge tous leurs frais et en les accompagnant dans leur développement artistique.
Au fil des siècles, le marché s'est donc développé et internationalisé, attirant collectionneurs, investisseurs et spéculateurs du monde entier. Les prix records atteints par certaines œuvres ont contribué à faire de l'art un investissement de plus en plus prisé.
Aujourd'hui, le marché de l'art est estimé à plus de 65 milliards de dollars par an, avec des ventes réalisées dans les galeries, les foires d'art, les ventes aux enchères et… de plus en plus en ligne, comme nous allons le voir.
Mais pourquoi autant d’engouement pour l’art ? Qu’est-ce qui pousse vraiment les investisseurs et les collectionneurs à investir dans des tableaux de jeunes artistes comme dans ceux de grands peintres ?
Pourquoi investir dans l’art est-il intéressant, mais pas simple ?
Tout d’abord, comme je le disais, investir dans l’art est souvent lié au fait qu’on apprécie tout simplement ce domaine au-delà de l’aspect financier. C’est donc un investissement plus concret et même pour certaines personnes, un investissement passion (comme les voitures de collection ou les Lego).
Creusons un peu la partie financière :
Investir dans l’art, c’est investir dans des objets qui prennent de la valeur (mais il faut bien choisir. C’est par exemple le cas pour les blue chips, les œuvres des artistes qui ont marqué l’histoire de l’art).
Diversification et décorrélation : investir dans l’art protège et stabilise votre portefeuille.
Protection contre l’inflation/valeur refuge. Comme l’or, certains investisseurs considèrent certaines œuvres comme des valeurs refuges protégeant leur patrimoine contre l’inflation (perte du pouvoir d’achat).
Un investissement qui prend de la valeur (en général)
Quand on regarde l’indice Artprice 100© qui suit les prix des œuvres d’art contemporain des 100 artistes les plus iconiques, on voit qu’il a fait mieux que le S&P 500 (les 500 plus grandes entreprises américaines) ces 20 dernières années :
Bien évidemment, il faut garder en tête que les performances passées ne préjugent pas des performances futures. On ne sait pas si le marché de l’art va continuer à surpasser le S&P 500, mais ça nous donne une grille de lecture intéressante.
Évidemment, vous allez vous dire que les œuvres d’art des 100 artistes les plus iconiques (Picasso, Basquiat, Monet, Banksy, etc.) sont inaccessibles au commun des mortels vu leur prix. Ce n’est pas faux, mais la mission de Matis est justement de rendre ces œuvres plus accessibles.
Dans l’univers de l’art, les performances peuvent varier très fortement d’un artiste à l’autre à cause de divers facteurs comme la reconnaissance internationale de l’artiste (où est-il exposé ?), le type d’œuvre et l’époque (il existe un énorme engouement pour l’art contemporain, par exemple).
Diversification et décorrélation : investir dans l’art protège et stabilise votre portefeuille.
L'art offre une diversification intéressante, car ses performances ne sont généralement pas corrélées avec celles des marchés financiers traditionnels.
Qu’est-ce que ça veut dire en français ? Cela signifie que lorsque les actions baissent par exemple, la valeur des œuvres d’art peut rester stable, voire même augmenter.
Mais attention, décorrélé ne veut pas dire non volatil (variation des prix). En effet, les prix des œuvres d’art peuvent varier fortement selon le climat macroéconomique (en période de récession, par exemple).
De plus, l'art étant un actif tangible (qui existe dans l’univers physique), il peut offrir une certaine sécurité en période d'incertitude économique.
Protection contre l'inflation/valeur refuge
L'art est souvent considéré comme une protection contre l'inflation. Contrairement à la monnaie qui peut perdre de la valeur, les œuvres d'art de qualité maintiennent ou augmentent leur valeur. En période d'incertitude économique, certains investisseurs se tournent vers l'art comme valeur refuge, estimant qu'il conservera mieux sa valeur que d'autres actifs financiers, comme l'or.
Bonus : une imposition potentiellement avantageuse en France
Un taux de TVA réduit à 5,5 % si vous achetez en France ou directement auprès de l’artiste ou de ses ayants droit. Taux de 20 % sinon.
Pas d’imposition à la revente pour les œuvres dont le prix de cession est inférieur à 5000 €.
Pour les œuvres dépassant ce prix, deux solutions :
Le taux forfaitaire de 6,5 % du prix de vente. L’option la plus avantageuse si vous détenez l’œuvre depuis moins de 22 ans en général.
Le régime général : 19 % sur les plus-values + 17,2 % de prélèvements sociaux (36,2 % en tout). Après 22 ans, plus d’imposition sur les plus-values, mais toujours les prélèvements sociaux.
De plus, les œuvres d'art sont exclues de l'assiette de l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).
Mais du coup, ce type d’investissement est pour qui ? Seulement pour les personnes les plus fortunées ?
L’art est souvent considéré comme un investissement alternatif, au sommet de la fameuse pyramide patrimoniale :
Même si certaines œuvres sont moins risquées que d’autres, dans l’ensemble, le marché de l’art est plus risqué que l’immobilier, par exemple. Et moins liquide aussi. Vendre un tableau est plus compliqué que de vendre une action en bourse.
Du coup, il est important d’investir dans l’art seulement quand vous avez déjà un portefeuille bien diversifié et une épargne de précaution bien remplie.
Mais ce n’est pas si simple…
Même si c’est en train de changer, le marché de l’art reste un marché complexe à comprendre et relativement opaque, car contrairement aux marchés financiers, les ventes ne se font pas sur des marchés publics avec des données ouvertes à tous, mais directement entre l’artiste et l’acheteur, dans des milliers de galeries dispersées dans le monde, dans des maisons de ventes aux enchères, etc.
De plus, il faut bien connaître ce milieu pour savoir sur quels artistes parier, lesquels sont plutôt safe et lesquels sont à éviter.
Enfin, le montant que vous êtes prêts à investir déterminera le type d’œuvre que vous pourrez acheter, évidemment…
En gros, si vous ne connaissez pas bien ce marché, ne mettez pas l’intégralité de vos économies dans le tableau d’un petit artiste que vous avez découvert dans une galerie du 6e arrondissement à Paris !
Avant, pour investir dans les œuvres les plus sûres — les fameux blue chips évoqués plus haut — il fallait être millionnaire.
Mais maintenant, grâce à la rencontre de l’art, de la finance et des nouvelles technologies grâce à des plateformes comme Matis, l’investissement dans ces œuvres de grands artistes devient de plus en plus accessible…
Comment investir dans l’art contemporain, focus sur Matis
Mais qui est Matis ?
Matis est une entreprise française qui a été fondée en 2023 par François Carbone (PDG) et Arnaud Dubois (directeur des investissements) qui sont loin d’être des débutants dans leur secteur.
En effet, François est le co-fondateur et ancien DG/président d’Anaxago, l’une des premières plateformes d’investissement, elle est extrêmement reconnue et respectée en France (investissements en startups et en immobilier via des club deals).
💡 Un club deal est un arrangement où plusieurs investisseurs se regroupent pour financer ensemble un projet ou une entreprise, partageant ainsi les risques et les profits.
De son côté, Arnaud est spécialisé dans les investissements sur le marché de l’art contemporain et il accompagne depuis dix ans investisseurs et collectionneurs dans l’achat et la gestion de leurs œuvres d’art.
À travers leurs expériences respectives, Arnaud et François se rendent compte qu’il n’existe quasiment pas de solution simple en Europe pour investir dans l’art. Pourquoi ?
Avant 2022, il n’y avait pas de cadre réglementaire en Europe qui permettait d’investir dans des œuvres d’art via des club deals.
Il est difficile de regrouper les compétences nécessaires pour investir dans le marché de l’art. La société d’Arnaud disposait de toutes ces compétences : de l’achat jusqu’à la revente.
Vous mélangez tout ça et boom, vous obtenez Matis, une entreprise qui “vous propose d’investir dans des œuvres d’artistes majeurs du XXe siècle, à travers des club deals exclusifs sélectionnés par notre équipe d’experts.”
Comment ça marche exactement ?
Tout d’abord, vous créez votre compte en ligne ici. Simple.
Ensuite, c’est là que la magie de Matis fait son effet.
Matis sélectionne les œuvres dans lesquelles ils pensent qu’il faut investir.
Leurs intérêts sont alignés avec les vôtres pour la continuité de leur business. Comme nous le dit Matis : “D’un prix d’acquisition compris entre 500 000 et 5 millions d’euros, les œuvres identifiées par Matis à l’acquisition sont valorisées par les institutions muséales, les principales galeries mondiales et par les collectionneurs internationaux.
Leur équipe sait évaluer rapidement le prix maximum auquel il est bon d’acheter l’œuvre et peut ainsi traiter un dealflow très large, afin de battre le marché lors de l’acquisition de l’œuvre. Notre expertise nous permet en effet de sélectionner des œuvres à un prix suffisamment bas pour revendre à travers les professionnels du marché de l’art (galeries) connaissant le mieux les collectionneurs intéressés”.
Matis structure des club deals pour permettre à des centaines d’investisseuses et investisseurs comme vous et moi d’intégrer la sphère de l’art.
Pour faire simple, une société par actions simplifiée (SAS) est dédiée pour chaque œuvre dans laquelle Matis permet à ses clients d’investir.
Cette société fait l’acquisition de l’œuvre d’art et les investisseurs privés peuvent investir via l’acquisition d’obligations convertibles de cette société projet.
Matis confie les œuvres d’art acquises à des galeries majeures en vue de leur revente.
Matis confie ses œuvres en dépôt à des galeries spécialistes de l’artiste concerné, capables de replacer l’œuvre en face du bon collectionneur, à sa valeur de marché.
Ils collaborent avec les plus grandes galeries d'art contemporain, en Europe, aux États-Unis, en Asie et au Moyen-Orient.
À la cession de l’œuvre, vous récupérez les sommes investies ainsi que la plus-value (qui sont bien évidemment non garanties).
Les œuvres sont cédées en moyenne dans un horizon de 24 mois. En fonction de la valeur de revente obtenue sur la pièce, les investisseurs peuvent récupérer leurs fonds ainsi que 80 % de la plus-value réalisée à la revente. Le TRI net de frais visé par Matis (non garanti) est compris entre 12 % et 20 %.
TRI ?
💡 Taux de rentabilité interne : le taux de rentabilité interne est un taux qui prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période donnée d'un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure donc la rentabilité réelle d'un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.
Voici quelques exemples de tableaux achetés et revendus par Matis :
De votre côté, vous pouvez voir toutes les œuvres dans lesquelles vous avez investi sur un tableau de bord qui ressemble à ça :
Et techniquement, comment ça fonctionne ?
Le schéma financier ressemble à ça :
Si on traduit en français en simplifiant un peu :
L'œuvre est acquise par une société projet (société par actions simplifiée de droit français).
En tant qu'investisseur, vous recevez des obligations qui peuvent être transformées en actions. Matis utilise un système qui permet de transférer les gains liés à la vente de l'œuvre aux investisseurs tout en réduisant les impôts sur ces gains. Utiliser des actions aurait entraîné une double imposition, ce qu’ils ont voulu éviter. Ce montage est couramment utilisé dans les club deals et a été validé par un cabinet d'avocats qui conseille Matis à ce sujet.
L’horizon d’investissement moyen de Matis est de 24 mois. Pour faire simple, ils espèrent qu’ils pourront revendre le tableau dans cette fenêtre, mais la revente peut arriver plus tôt (quelques mois) ou maximum cinq ans après l’achat à travers sa remise en vente aux enchères qui entraînerait une perte de maîtrise du prix, mais une maîtrise de temps.
Les frais dans tout ça ?
Frais de structuration : 6 % du montant investi.
Frais de conseil/assurance/logistique, etc., pendant la durée de détention de l’œuvre : 4 % appliqués une seule fois à l’entrée.
En cas de plus-value, Matis récupérera 20 % de cette dernière. C’est ce qu’on appelle le carried interest dans le jargon de la finance. Donc si Matis achète une œuvre dans laquelle vous avez investi 1 million et qu’ils revendent cette dernière 2 millions d’euros, ils récupéreront 1 000 000 × 20 % de carried interest donc 200 000 €. Cela peut paraître élevé, mais c’est tout à fait normal dans l’univers de l’investissement de pointe (art, startups, etc.). C’est en quelque sorte le prix de l’accès à l’expertise que vous n’avez pas.
Qui peut investir ?
Des personnes physiques (individus) ou morales (entreprises), résidents fiscaux français ou non, peuvent investir dans les club deals de Matis.
À partir de quel montant ?
Le minimum pour accéder aux club deals de Matis est de 20 000 €.
Et la fiscalité ?
Les gains réalisés (plus-values) sont taxés à 30 % pour les particuliers (ou 17,2 % si une exemption s'applique) et sont soumis à l'impôt sur les sociétés ou sur le revenu pour certaines sociétés civiles, selon leur choix fiscal.
Ces investissements ne sont pas concernés par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).
Investir sur Matis vous intéresse ? C’est par ici :
Conclusion et paysage concurrentiel de Matis
Investir dans l’art peut être un passe-temps passionnant et lucratif, mais l’opacité et la complexité du marché peuvent rendre la tâche ardue.
Des entreprises comme Matis essayent donc de rendre ces investissements plus accessibles en alliant finance, technologie et savoir-faire.
Matis est un pionnier en Europe en matière d’investissement dans l’art pour les particuliers, mais il existe quelques concurrents dans le monde :
Masterworks est certainement le plus connu. Il s’agit d’un acteur américain qui permet également d’investir dans des œuvres de grands peintres ;
Mintus est une plateforme britannique qui permet d’investir dans divers investissements alternatifs y compris dans de l’art ;
Artsquare.io est une autre plateforme britannique qui allie blockchain et investissement dans l’art.
Et si Matis vous intéresse, c’est par ici.
Si vous souhaitez réagir ou si vous avez des questions, laissez un commentaire.
Bonne soirée à toutes et à tous.
Yoann ❤️
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Le marché de l’art n’est pas au meilleur de sa forme en ce moment… cela aurait peut être été intéressant de le mentionner
https://www.theartnewspaper.com/2024/09/02/global-turmoil-and-rising-taxes-tilt-art-trade-towards-new-era
FELICES BOLA DE NIEVE