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Édition spéciale

📉📈 Faut-il investir sur ce marché ?

Décryptage de marché.

Le 29/07/2025

par 

 ❤️

👩‍🏫

Ce que vous allez apprendre dans cet article

🖼️ Pourquoi le marché de l'art traverse une période difficile avec une baisse de 12 % en 2024, mais regorge d'opportunités pour les investisseurs avisés. 💰 Comment investir dans des œuvres d'artistes "blue chip" comme Warhol, Kusama ou Soulages avec un ticket d'entrée plus accessible que des millions. 📊 Quels sont les artistes incontournables à considérer pour un investissement dans l'art avec un potentiel de rendement intéressant. 🛡️ Pourquoi l'art représente une diversification intéressante pour votre portefeuille avec une résilience face aux crises et une fiscalité avantageuse après 22 ans de détention.

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⏱️ Temps de lecture : 18 minutes

Hey Snowballers,

J'espère que vous allez bien et que vous passez un bon début de semaine. Si vous suivez Snowball depuis un petit moment, vous devez savoir que je suis un grand fan d’investissements alternatifs et notamment de tout ce qui touche aux objets de collection et à l’art. J'avais par exemple investi dans cette série limitée de Daniel Arsham, un artiste que j'aime beaucoup (et les Porsche aussi) :

Je parle souvent d’art ici et je voulais justement revenir sur ce marché aujourd’hui pour voir un peu comment il se porte. Vous êtes quelques-uns à m’avoir posé des questions sur ça, justement suite à d'anciennes éditions et notamment :

Est-ce le bon moment d’investir dans l’art ? Comme la dernière fois, on vous en parle avec notre partenaire préféré : Matis. Plusieurs Snowballers et même un membre de la team Snowball sont passés par leurs services.

Pour rappel, les avantages d’investir dans l’art sont nombreux :

  • résilience face aux crises (surtout des artistes qualifiés de “blue chip” comme Warhol, Soulages, Kusama, etc.) ;
  • diversification du portefeuille pour limiter sa volatilité (variations de prix) ;
  • une valeur tangible et culturelle qui peut être alignée avec vos goûts et passions ;
  • une fiscalité intéressante si vous achetez une œuvre d’art en direct (on parle d'une taxe de 19 % sur la plus-value réalisée, assortie de prélèvements sociaux de 17,2 %. Un abattement de 5 % par an s'applique à partir de la deuxième année de détention, conduisant à une exonération totale après 22 ans.).

Le marché de l'art, comme beaucoup d’autres marchés, et c’est normal, traverse une période un peu compliquée en ce moment. Entre la pandémie, les taux d'intérêt qui font le yoyo et Donald Trump qui part en guerre commerciale contre la planète entière, les dernières années n’ont pas été évidentes. Mais comme on dit souvent, les périodes de turbulence créent aussi des opportunités pour ceux qui savent où regarder.

Le marché de l'art a connu deux années consécutives de baisse avec une chute de 12 % en 2024, pour atteindre environ 57,5 milliards de dollars. Mais attention, cette baisse concerne surtout le segment très haut de gamme (les œuvres à plus de 10 millions de dollars ont chuté de 39 %).

Paradoxalement, le volume total des transactions a augmenté de 3 %. Mais alors pourquoi ? Tout simplement parce que les œuvres d'entrée et de milieu de gamme sont devenues plus populaires. Les segments inférieurs à 50 000 dollars représentent désormais 85 % du volume des ventes.

Géographiquement, qui domine ?

  • 🇺🇸 États-Unis : 43 % des ventes (27,2 milliards de dollars) ;
  • 🇬🇧 Royaume-Uni : 18 % des ventes ;
  • 🇨🇳 Chine : 15 % des ventes (mais en baisse de 31 %) ;
  • 🇫🇷 France : 4e position avec 4,2 milliards de dollars.

En Asie, c'est contrasté : le Japon progresse (+2 %), la Corée du Sud recule (-15 %), tandis que l'Inde explose avec une croissance de 122 % sur le segment contemporain.

Dans ce contexte, deux segments semblent particulièrement intéressants :

1. Les œuvres accessibles en dessous de 50 000 dollars (estampes, éditions limitées...).

2. Les artistes "blue chip" (les valeurs sûres du marché de l'art).

Concentrons-nous sur les "blue chip". Un peu comme avec les actions, en période d'incertitude, les investisseurs se tournent vers les valeurs sûres. La demande se concentre donc sur les artistes à la réputation solidement établie qui ont fait leurs preuves sur plusieurs décennies.

Ces artistes bénéficient d'une reconnaissance à la fois par le marché et par les institutions (présence dans les musées, grandes collections privées, galeries prestigieuses, records aux enchères...).

Des noms comme Soulages, Picasso, Fontana, Calder, Hockney, Warhol, Basquiat ou Kusama continuent d'attirer les acheteurs qui recherchent sécurité et stabilité.

Le problème ? Ces œuvres coûtent souvent plusieurs millions d'euros. C'est là qu'un acteur comme Matis peut être intéressant.

En effet, Matis, entreprise française agréée par l'AMF, propose une solution simple de co-investissement dans des œuvres contemporaines avec un ticket d'entrée de 20 000 €, ciblant un rendement (non garanti) de 15 %¹ par an, avec une performance moyenne de 16,4 % sur les 15 œuvres déjà revendues². Attention, comme toujours, les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi. Vous le savez, mais on ne le répétera jamais assez.

Comment Matis fonctionne exactement ?

  • Matis sélectionne des œuvres d'artistes majeurs du XXe siècle (de plusieurs centaines de milliers d’euros à plusieurs millions), comme Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Yayoi Kusama, Pierre Soulages, ou encore François-Xavier Lalanne.
  • Horizon d'investissement cible (non garanti) de 24 mois, pouvant aller jusqu’à 5 ans. C’est-à-dire que Matis va essayer de revendre le tableau dans les deux ans grâce à son réseau.
  • Rendement (TRI) visé par Matis de 15 % (non garanti)¹.
  • Depuis le lancement de Matis en mai 2023, 15 œuvres ont été revendues, sur 62 club deals financés, délivrant une performance nette investisseur moyenne de 16,4 %². Attention, comme toujours les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

En pratique :

  • Création d'une société (SAS) pour chaque œuvre. Cette SAS va acquérir l'œuvre.
  • Investissement via des obligations convertibles.
  • Investissement minimum de 20 000 €.
  • Consignation des œuvres dans des galeries renommées en vue de leur revente.

Depuis quelques années, le marché de l’art connaît pas mal de mutations à cause de la conjoncture économique et de la géopolitique qui est extrêmement incertaine. Entre la pandémie de Covid, les taux d’intérêt extrêmement bas puis extrêmement élevés et Donald Trump qui part en guerre commerciale contre tous les pays, le marché de l’art connaît quelques turbulences.

Effectivement, après l’euphorie post-pandémique de 2021-2022, le secteur a connu deux années consécutives de chute, avec une baisse de 12 % de la valeur totale des ventes en 2024, pour atteindre environ 57,5 milliards de dollars.

Cette baisse s’est plutôt concentrée sur le haut du marché, tandis que le volume des transactions a paradoxalement augmenté de 3 %. Pourquoi ? Parce que les œuvres d’entrée de gamme et du milieu de marché sont devenues plus populaires.

Dans un tel contexte, les acteurs du marché naviguent entre risques accrus et opportunités. En effet, quand un marché connaît une petite crise, c’est souvent une énorme source d’opportunités pour les personnes qui sont bien préparées et qui connaissent bien le marché en question.

Si on zoome un peu, les contractions de 12 % entre 2023 et 2024 et de 4 % entre 2022 et 2023 s’expliquent principalement par le tarissement de l’offre et de la demande sur le segment des œuvres très haut de gamme, où les ventes aux enchères de lots à plus de 10 millions de dollars ont chuté de 39 %. En revanche, le nombre total de transactions a augmenté, porté par une forte activité sur les segments inférieurs à 50 000 dollars, qui représentent désormais 85 % du volume des ventes chez les marchands.

Géographiquement, les US demeurent le premier marché avec 43 % des ventes (27,2 milliards de dollars), en seconde position on retrouve le Royaume-Uni avec 18 % des ventes, la Chine avec 15 % des ventes (mais une forte contraction de 31 % des ventes) et la France qui reste en 4e position avec 4,2 milliards de dollars de ventes.

L’Asie montre des performances mitigées : le Japon progresse (+2 %), la Corée du Sud recule (-15 %), tandis que l’Inde s’impose comme un marché émergent avec une croissance spectaculaire de 122 % sur le segment contemporain.

Le segment des œuvres à plus de 10 millions de dollars, longtemps moteur de la croissance, a connu une chute spectaculaire : les ventes aux enchères de lots ultra-haut de gamme ont reculé de 39 % en 2024, ne représentant plus que 18 % de la valeur du marché, contre 33 % en 2022.

Mais alors pourquoi ? Cette contraction s’explique par la raréfaction des chefs-d’œuvre mis en vente, la réticence des vendeurs à céder leurs pièces dans un climat incertain, et la prudence accrue des acheteurs face à la volatilité des prix et à la montée des risques géopolitiques et macroéconomiques.

La Chine, longtemps moteur de la croissance, a vu son marché se contracter de 31 % en 2024 (ralentissement économique + crise immobilière). Le Royaume-Uni, malgré le Brexit, a regagné la deuxième place mondiale, mais ce n’est pas folichon non plus (défis logistiques et fiscaux). Les marchés émergents (Inde, Arabie saoudite, Moyen-Orient) montent en puissance, mais leur maturité et leur stabilité restent à surveiller.

Mais du coup, où sont les opportunités ?

Alors que le marché dans l’ensemble connaît une période difficile, il existe deux segments qui peuvent être intéressants : les œuvres accessibles en dessous de 50 000 dollars (notamment les éditions limitées, estampes et autres “multiples”) et les artistes établis qu’on appelle “blue chip” dans le jargon. On va plutôt se concentrer sur la deuxième catégorie des “blue chip”, pour les œuvres plus accessibles, j’avais rédigé une édition ici.

Blue chip”, donc. Effectivement, un peu comme avec les actions, en période de crise, les investisseurs tendent à se focaliser sur les valeurs sûres.

La demande se concentre donc sur les artistes à la réputation solidement établie qui ont fait leurs preuves sur plusieurs décennies et qui bénéficient d’une reconnaissance sur le marché et par les institutions (apparition dans les musées, grandes collections privées, galeries, records aux enchères, etc.). Les œuvres d’artistes comme Soulages, Picasso, Fontana, Calder, Hockney, Warhol, Basquiat, Kusama, et d’autres artistes “blue chip” continuent d’attirer les acheteurs qui recherchent de la sécurité et de la stabilité.

Mais même ce segment n’est pas à l’abri de la volatilité : la rareté des œuvres disponibles, la concurrence internationale, et la montée des prix peuvent limiter le potentiel de croissance à court terme. Il est donc recommandé de privilégier les œuvres de qualité muséale, avec une provenance irréprochable et une documentation complète.

Le problème majeur de ces œuvres est qu’elles coûtent souvent plusieurs millions d’euros.

C’est donc là qu’un acteur comme Matis peut être intéressant pour s’y exposer. Leur track record dans le secteur qu’on verra un peu plus loin nous prouve qu’ils s’y connaissent vraiment bien et qu’ils sont capables de trouver des opportunités.

Pour rappel, on va se focaliser sur le segment le plus accessible du marché de l’art : l'art contemporain où les prix des œuvres vont de dizaines ou centaines d’euros à plus de 200 millions d’euros. C'est donc sur ce segment que Matis (et de nombreux autres investisseurs privés et institutionnels) ont décidé de se concentrer.

Petit rappel sur la société Matis avant de démarrer :

Matis, entreprise française fondée en 2023 et agréée par l’Autorité des Marchés Financiers, tente de dépoussiérer l’univers de l'investissement dans l'art contemporain tout en le rendant plus accessible via ce qu’on appelle des club deals :

  • Matis sélectionne des œuvres d'artistes majeurs du XXe siècle (de plusieurs centaines de milliers d’euros à plusieurs millions) comme Andy Warhol, Yayoi Kusama, ou encore François-Xavier Lalanne.
  • Horizon d'investissement cible (non garanti) de 24 mois. C’est-à-dire que Matis va essayer de revendre l’œuvre dans les deux ans grâce à son réseau.
  • Rendement (TRI) visé par Matis de 15% (non garanti)¹.
  • Depuis le lancement de Matis en mai 2023, 15 œuvres ont été revendues, sur 62 club deals financés, délivrant une performance nette investisseur moyenne de 16,4 %². Attention, comme toujours les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

Comment fonctionne Matis concrètement ?

  • Création d'une société (SAS) pour chaque œuvre. Cette SAS va acquérir l'œuvre.
  • Investissement via des obligations convertibles.
  • Investissement minimum de 20 000 €.
  • Dépôt des œuvres dans des galeries renommées en vue de leur revente.
  • Partage de la plus-value (non garantie) à la cession de l'œuvre.

Quels sont donc les conseils de Matis pour sélectionner un artiste ?

Les artistes disposant d’une reconnaissance internationale et dont les œuvres sont exposées dans les musées et les galeries d’art renommées sont le plus souvent des artistes dont la réputation est actée sur le marché, et représentent donc des choix d’investissement à privilégier. Recherchez des artistes reconnus par des critiques d'art, présentés dans des institutions culturelles renommées, ou ayant reçu des prix prestigieux.

Vérifiez la présence de l'artiste dans des revues spécialisées influentes et des bases de données comme Artprice. Évaluez également la présence de l'artiste dans des galeries, foires d'art, et plateformes en ligne. Mais c'est surtout la présence d'un historique de transactions qu'il faut privilégier parmi tout ça.

Autre caractère essentiel, la provenance et l'historique de l’œuvre. Une œuvre avec une provenance et une authenticité claire et bien documentée est plus fiable et plus valorisée. À partir du XXe siècle, les artistes ont pris un grand soin d’archiver ou de faire archiver par leur galerie leur production dans des catalogues raisonnés. La majorité des artistes modernes et contemporains ont émis des certificats pour les œuvres dès leur vivant ou ont transmis la responsabilité à leur ayant droit ou à leur fondation, telle que la Fondation Calder ou la Niki de Saint Phalle Foundation.

Quelques exemples d'artistes sur lesquels Matis se concentre :

OK, l'artiste est sélectionné, mais il faut maintenant sélectionner une œuvre de cet artiste.

Dans le cadre d’un investissement, il est préférable de privilégier les artistes institutionnels et internationaux travaillant par série. L'étude d’œuvres comparables précédemment vendues permet de déterminer le réel prix de marché d’une œuvre d'art, et donc de définir le prix maximum auquel acheter une œuvre. On peut citer le travail d’Andy Warhol : il est relativement facile de déterminer le prix de ses œuvres en comparant des œuvres similaires précédemment passées sur le marché, et en utilisant des outils comme Artprice. Exemples de transactions :

Cependant, il faut également noter que beaucoup de transactions dans le marché se réalisent via des canaux privés, et les prix ne sont donc pas accessibles à tout le monde. D'où la nécessité de se faire accompagner par des spécialistes du marché (comme Matis) qui ont accès à cette donnée et qui pourront donc vous aider à trouver les meilleures opportunités et à faire le choix le plus éclairé possible.

Ensuite, pour bien vendre une œuvre, l’accès à un réseau de professionnels du marché de l’art est essentiel. Il faut savoir confier son œuvre à une galerie spécialiste de l'artiste concerné ou à une maison de ventes aux enchères, capable de la replacer en face du bon collectionneur, à la bonne valeur de marché.

Comme je disais, il ne faut pas investir dans n’importe quel artiste. Il faut regarder : 

  • la réputation et la cote de l’artiste : reconnaissance internationale, exposition dans de grands musées, présence dans de prestigieuses collections, etc. ;
  • la renommée internationale et citation par des experts ou des galeristes à la renommée internationale ;
  • période artistique : l’art ancien (grand volume d’œuvres échangées à faibles valeurs. Les plus prestigieuses et donc les plus chères sont déjà dans des musées), l’art moderne et impressionniste (œuvres difficiles à acheter et à vendre et accessibles à une clientèle privilégiée) et finalement l’art contemporain (le segment le plus accessible avec des prix allant de centaines d’euros à plus de 200 millions avec une forte croissance).

Comme nous le dit Matis, “pour un premier investissement, il est donc préférable d’investir dans des artistes établis en raison de la demande pour leurs œuvres d’art, de leur prestige ou de leur présence dans les collections permanentes des plus grands musées internationaux. Ces artistes, qu’on appelle les artistes blue chip, incarnent des sortes de valeurs sûres dans le monde de l’art. En voici quelques-uns listés ci-dessous et classés par mouvement.

Parmi les artistes contemporains, on peut citer : 

  • Jeff Koons ;
  • Pablo Picasso ;
  • Andy Warhol ;
  • Claude Lalanne ;
  • Alexander Calder ;
  • Lucio Fontana ;
  • Pierre Soulages ;
  • Yayoi Kusama ;
  • David Hockney ;
  • Keith Haring ;
  • Gerhard Richter ;
  • François-Xavier Lalanne.

À titre d’exemple, Matis a réalisé plusieurs cessions sur des œuvres d’artistes établis et reconnus issus de ces époques clés de l’histoire de l’art :

Avertissement : les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

Parmi les artistes qui offrent des rendements significatifs, l’indice Artprice 100© peut être super intéressant pour trouver son chemin dans cet univers relativement opaque. Le portefeuille Artprice100©3) est conçu pour simuler la performance d'un investissement pondéré dans les 100 artistes les plus vendus aux enchères sur le marché de l'art. Si on le compare au S&P 500 (indice des 500 plus grosses entreprises américaines), les performances observées de l'indice artprice 100 sont deux fois supérieures à celle de l'indice boursier :

Voici le top 10 établi en 2023 accompagné de leur prise de valeur théorique :

  • Pablo Picasso (art moderne) : 8,3 % ;
  • Andy Warhol (art d’après-guerre) : 5,1 % ;
  • Claude Monet (19e siècle) : 5,0 % ;
  • Jean-Michel Basquiat (art contemporain) : 3,9 % ;
  • Zao Wou-Ki (art d’après-guerre) : 3,4 % ;
  • Gerhard Richter (art d’après-guerre) : 2,8 % ;
  • David Hockney (art d’après-guerre) : 2,4 % ;
  • Yayoi Kusama (art d’après-guerre) : 2,1 % ;
  • René Magritte (art moderne) : 2,1 % ;
  • Qi Baishi (art moderne) : 2,0 %.

Avant de commencer, comme toujours, je tiens à préciser que les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Gardez bien ça en tête. De plus, l’investissement dans des actifs non cotés (et cotés aussi d’ailleurs) présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

À noter que Matis, pour l'ensemble de ses club deals, vise :

  • une durée d'investissement maximum de 5 ans, et une durée de détention moyenne (non garantie) de deux ans ;
  • 20 % de cessions par an (non garanties) ;
  • un TRI (taux de rentabilité interne) net de frais cible à 15 %¹ (non garanti).

Pour rappel, un club deal = une œuvre. Voici le détail des club deals financés :

Et les indicateurs clés de remboursement :

Voici comment lire le tableau : 

* Depuis le premier investissement client, permettant de calculer le TRI.

**DPI : distributed to paid in ou montant du capital redistribué aux investisseurs rapporté au montant total du capital versé. Donne une indication de la liquidité et de la réalisation des rendements des opérations.


***TVPI : total value paid in ou valeur totale rapportée au capital versé, qui correspond à la somme des
distributions passées et à venir divisée par le montant total du capital versé. Encours valorisé au prix d'entrée.



TRI : Taux de rentabilité interne. Le taux de rentabilité interne prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période d'un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure la rentabilité réelle d'un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.

Voici quelques exemples de tableaux qui ont été achetés et revendus par Matis :

Oui le marché de l’art traverse une période difficile (c’est le cas pour tous les marchés à un moment ou un autre), mais comme dans toutes les périodes difficiles, elles sont souvent remplies d’opportunités. De plus, il faut savoir que le marché de l’art reste stable avec entre 50 et 70 millions de dollars de transactions depuis plus de 20 ans.

Matis nous prouve que quand on connaît bien son marché, on arrive à trouver ces opportunités et à en profiter.

Si vous êtes amoureuses et amoureux de l’art et que vous souhaitez diversifier votre portefeuille, Matis peut donc vous aider.

Si ce modèle vous intéresse, n’hésitez pas à vous inscrire ci-dessous. C’est bien évidemment gratuit pour découvrir les club deals de l’entreprise. Je vous remets la description de Matis si vous l'avez ratée au début (sinon vous pouvez passer) : Matis est une entreprise française agréée par l'AMF, propose une solution simple de co-investissement dans des œuvres contemporaines avec un ticket d'entrée de 20 000 €, ciblant un rendement (non garanti) de 15 %¹, avec une performance moyenne de 16,4 % sur les 15 œuvres déjà revendues². Attention, comme toujours, les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi. Vous le savez, mais on ne le répétera jamais assez.

Comment Matis fonctionne exactement ?

  • Matis sélectionne des œuvres d'artistes majeurs du XXe siècle (de plusieurs centaines de milliers d’euros à plusieurs millions) comme Andy Warhol, Yayoi Kusama, ou encore François-Xavier Lalanne.
  • Horizon d'investissement cible (non garanti) de 24 mois. C’est-à-dire que Matis va essayer de revendre le tableau dans les deux ans grâce à son réseau.
  • Rendement (TRI) visé par Matis de 15 % (non garanti)¹.
  • Depuis le lancement de Matis en mai 2023, 15 œuvres ont été revendues, sur 62 club deals financés, délivrant une performance nette investisseur moyenne de 16,4 %². Attention, comme toujours les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

En pratique :

  • Création d'une société (SAS) pour chaque œuvre. Cette SAS va acquérir l'œuvre.
  • Investissement via des obligations convertibles.
  • Investissement minimum de 20 000 €.
  • Consignation des œuvres dans des galeries renommées en vue de leur revente.

Et si vous souhaitez en savoir plus sur le modèle de Matis, vous pouvez lire ou relire cette ancienne édition ou encore celle-ci.

(1) Taux de rentabilité interne annualisé net de frais : le taux de rentabilité interne prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période d'un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure la rentabilité réelle d'un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.

(2) Données actualisées au 22 juillet 2025. Performance nette investisseur : montant reversé à l'investisseur, net de tous frais et brut de fiscalité, qui correspond à la différence entre le prix de cession de l'œuvre et son montant d'acquisition, auquel sont retranchés les frais afférents à la commission de la galerie, les taxes et les frais de Matis.

(3) L’Artprice100® est un indice développé par la société Artprice, qui a pour mission d’observer et de quantifier la prise de valeur du Marché de l’Art en se concentrant sur sa partie la plus stable. La composition de l’Artprice100® est ajustée par un conseil scientifique au 1er janvier afin de refléter l’évolution progressive du Marché de l’Art. Les 100 artistes les plus performants aux enchères sur les cinq années précédentes, et qui répondent à un critère essentiel de liquidité (au moins dix œuvres homogènes vendues chaque année), sont identifiés pour constituer un portefeuille représentatif. Le poids de chaque artiste est proportionnel au produit de ventes de chacun sur la période concernée.