🦄 Investir dans les meilleures startups

Hey Snowballers,

J’espère que vous allez toutes et tous bien.

Aujourd’hui, nous allons parler d’un investissement alternatif qui fait rêver beaucoup de personnes, mais qui est en général difficilement accessible (en tout cas pour les meilleurs deals) : l’investissement dans les startups.

Et pour sortir cette édition, nous nous sommes associés à InvestorX, un club deal qui vous permet d'accéder aux startups les plus prometteuses issues de Y Combinator, l'un des accélérateurs/incubateurs les plus prestigieux du monde (Airbnb, Stripe, Coinbase, Reddit, etc.). Et on me souffle également à l’oreille qu’ils sont sur le point de signer un deal avec un énorme fonds américain que vous connaissez sûrement, car ils avaient investi dans Wiz (rachetée par Google pour 32 milliards de dollars).

Aujourd’hui, on va donc voir comment devenir un bon business angel et comment se lancer avec ou sans réseau.

Pour rappel, l’investissement en startups est extrêmement risqué et illiquide, donc n’investissez que de l’argent que vous êtes prêt à perdre ou à ne pas revoir pendant de longues années.

Ah, et la réponse à l'énigme de la semaine dernière ainsi que le ou la gagnante est à la fin de l'introduction un peu plus bas.

Investir dans des startups, ça fait rêver. Mais sans réseau, c'est souvent mission impossible d'accéder aux meilleures opportunités. C'est justement là qu'intervient InvestorX, un club deal qui vous ouvre les portes des startups prometteuses, notamment celles issues du célèbre Y Combinator (et bientôt d'un autre gros fonds de premier rang). Plongeons ensemble dans cet univers passionnant.

Même si vous n'investissez pas en direct, il est important de comprendre l'état d'esprit d'un fonds d'investissement ou d'un business angel.

Première chose à comprendre : la plupart des startups échouent (plus de 90 %). Comme le dit si bien Rohini Pandhi de Mercury : "Mettez seulement ce que vous êtes prêt à mettre à Vegas." Autrement dit, n'investissez que l'argent que vous pouvez vous permettre de perdre.

Pourquoi investir alors ? Pour plusieurs raisons :

• Potentiel de rendement énorme : quand ça marche, les multiples peuvent être impressionnants ;
• Être proche de l'innovation : vous êtes aux premières loges des technologies qui pourraient changer le monde ;
• Diversification de votre portefeuille : un complément intéressant à vos actions, cryptos ou immobilier.

Mais attention aux risques :

• Illiquidité : votre argent est bloqué pendant plusieurs années ;
• Un taux d'échec élevé : même les startups de Y Combinator échouent à 93 %.

Structurez votre approche : définissez un budget total sur 3-5 ans et des montants standards par investissement (généralement entre 2000 € et 25 000 €).

Misez sur vos domaines d'expertise : comme l'explique Cristina Cordova de Linear, "concentrez-vous sur les domaines où vous avez un avantage informationnel."

Développez votre réseau : faites savoir que vous investissez et précisez ce que vous recherchez. N'hésitez pas à rejoindre des réseaux déjà existants pour prendre des raccourcis.

Apportez plus que du capital : identifiez votre "super pouvoir" unique (expertise sectorielle, réseau, capacité d'analyse…).

Mais si vous n'avez pas le temps ou le réseau pour tout ça, des solutions comme InvestorX peuvent vous faciliter la vie !

Qu'est-ce qu'InvestorX exactement ? C'est un club deal qui vous permet d'investir dans des startups triées sur le volet, principalement issues de Y Combinator (l'incubateur qui a vu naître Airbnb, Dropbox, Stripe…).

Pour choisir leurs startups, ils scrutent particulièrement :

• L'équipe : parcours des fondateurs, complémentarité, résilience… C'est LE facteur n° 1 de succès !
• La traction commerciale : revenus mensuels récurrents, croissance, rétention des clients…

🩺 Moona Health - Révolutionne la santé avec l'IA

• Croissance du CA de 86 % en janvier ;
• Permet aux professionnels de santé d'adapter leurs soins en temps réel ;
• Fondée par des Français, mais se développe aux États-Unis.

📈 Topo - SaaS en hypercroissance

• +40 % de croissance mensuelle ;
• Approche les 100 000 $ de revenus mensuels récurrents ;
• Utilise l'IA pour révolutionner la génération de leads.

💰 Capitol.ai - L'IA au service de la finance

• A levé 50 millions de dollars récemment ;
• Solution de recherche optimisée par l'IA ;
• Permet aux entreprises de contrôler leurs propres données.

Deux de leurs startups vont d'ailleurs réaliser une nouvelle levée, multipliant potentiellement par 2,5 leur investissement en seulement six mois !

InvestorX se démarque par son focus sur le marché américain et les startups de Y Combinator (mais pas que), offrant :

• Un accès privilégié à des deals normalement inaccessibles aux particuliers ;
• Une sélection rigoureuse par des pros de l'investissement ;
• Une meilleure liquidité grâce au marché américain où les rachats sont plus fréquents.

Et ce n'est pas tout ! Ils préparent un partenariat avec un énorme fonds d'investissement américain qui devrait leur apporter des deals exceptionnels.

Vous aimeriez rejoindre leur réseau ? C'est par ici pour discuter avec leur équipe et les rejoindre :

Bien sûr, comme pour tout investissement, le risque de perte en capital existe. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier.

Si vous êtes tenté par l'aventure, vous pouvez discuter directement avec leur équipe. Et si vous préférez explorer d'autres options, jetez un œil à Tudigo, LITA, Crowdcube ou encore Caption qui peuvent être complémentaires.

À titre personnel, grâce à mon réseau, j’ai pu investir dans quelques startups comme The Mobile First Company, Lago (exit lors de leur série A) ou encore Phacet. Cependant, je suis conscient que sans réseau, l’accès à de telles startups est plus difficile et c’est justement pour ça que je voulais vous parler d’InvestorX aujourd’hui.

Mais avant de décortiquer le business d’InvestorX, j’aimerais vous donner, avec l’aide de leur team, quelques clés pour devenir un bon investisseur en startups. Et avant ça, place au résultat de l'énigme de la semaine dernière :

Contrairement aux idées reçues, la plupart des investissements en startups ne génèrent pas de rendement financier. Comme le dit Rohini Pandhi de Mercury via la newsletter de Mario Gabriele : "Mettez seulement ce que vous êtes prêt à mettre à Vegas." Cette réalité ne doit pas vous décourager, mais plutôt vous pousser à considérer les autres bénéfices de cette activité. L'apprentissage sur les nouvelles technologies et l'expansion de votre réseau professionnel peuvent créer une valeur considérable, même si votre investissement ne produit pas de retour financier. D’ailleurs, beaucoup d'investisseurs à succès voient leurs tickets comme un moyen d'accéder à des écosystèmes innovants et de rester à la pointe dans leur propre domaine.

À titre personnel, je fais ça, car j’adore cet univers et je m’y intéresse énormément et souvent pour soutenir des amis et des connaissances dans leur projet.

Cela ne veut pas dire que la motivation financière doit être absente, mais investir en startups peut apporter bien plus que ça.

Si on devait résumer les avantages :

• Potentiel de rendement élevé : les startups en early stage peuvent générer des multiples et un retour sur investissement très important si elles réussissent ;
• Accès à des innovations de rupture : investir dans des startups permet d’être exposé aux futures technologies et modèles économiques dominants ;
• Diversification du portefeuille : complément aux actifs plus traditionnels (actions cotées, immobilier, cryptos).

Et les risques :

• Illiquidité : les investissements en startups sont bloqués plusieurs années, contrairement aux actions cotées ;
• Le taux d’échec : la grande majorité des startups ne deviennent pas rentables et font faillite (on parle de plus de 90 %), d’où l’importance de diversifier ses investissements dans plusieurs startups. À noter que le taux d’échec des startups de Y Combinator est lui aussi élevé (environ 93 %), mais leur probabilité de survie ou de succès est nettement supérieure à la moyenne du marché selon de nombreuses sources.

Traitez votre activité d'investissement comme un mini fonds. Définissez un montant total que vous êtes prêt à perdre et étalez-le sur une période de trois à cinq ans plutôt que de le déployer au hasard des opportunités (contrairement à moi 😅). Hernan Kazah de Kaszek recommande de "diversifier à travers les industries, les étapes de développement et l'horizon temporel."

Établir des montants d'investissement standards (généralement entre 2000 € et 25 000 €) simplifie considérablement votre processus de décision. Créez également un système d'évaluation simple et reproductible pour éviter les décisions purement émotionnelles. On en parlera plus loin quand on décortiquera la thèse d’investissement d’InvestorX.

Vos premiers investissements devraient se concentrer sur des secteurs où vous disposez d'une expertise approfondie. Comme l'explique Cristina Cordova de Linear toujours via la newsletter de Mario Gabriele : "J'ai abordé l'investissement en me concentrant sur les domaines où j'avais un avantage informationnel." Votre expérience pro vous expose à des outils, des problèmes et des solutions qui peuvent vous donner un avantage significatif pour identifier les startups prometteuses.

Après avoir établi un historique dans vos domaines principaux, vous pourrez progressivement élargir vos horizons vers des secteurs adjacents. Par exemple, si vous excellez dans la fintech B2B (les startups du secteur de la finance qui s’adressent à des entreprises, en français), il est naturel de commencer à explorer le SaaS B2B (les logiciels à destination des entreprises).

Faites savoir à votre réseau que vous investissez et précisez ce que vous recherchez. C'est la première étape pour générer un premier flux. N'hésitez pas non plus à contacter directement les fondateurs qui vous intéressent — les investisseurs particuliers obtiennent souvent de meilleurs taux de réponse que les VC professionnels.

Développez également des relations avec d'autres investisseurs qui peuvent partager des opportunités et des perspectives avec vous, multipliant ainsi vos sources potentielles.

Et pour accélérer les choses, vous pouvez également décider de rejoindre des clubs deals comme InvestorX qui peuvent vous faciliter l’accès à un tel réseau. De plus, rejoindre ou créer des collectifs d'investisseurs permet de mutualiser les ressources avec d'autres business angels afin de considérablement augmenter votre impact, votre apprentissage et votre accès aux opportunités d'investissement.

Identifiez votre "super pouvoir" unique. Déterminez quelle valeur spécifique vous apportez au-delà du capital, qu'il s'agisse d'expertise sectorielle, d'un réseau professionnel étendu ou d'une capacité d'analyse. Ensuite, communiquez-la clairement aux fondateurs.

De mon côté, cela pourrait être par exemple la création de contenu ou encore le développement d’une communauté.

Bon, maintenant que vous connaissez un peu les bases pour être une bonne ou un bon business angel, comment faire si on veut prendre des raccourcis ? Eh bien il existe des clubs deals comme InvestorX. Creusons un peu leur modèle.

Chaque fonds d’investissement en startups possède en général une thèse d’investissement qui va l’aiguiller dans ses choix (et d’ailleurs en tant qu’investisseuse ou investisseur particulier, vous devriez en avoir une, même si ce n’est qu’une ou deux phrases).

L’approche d’InvestorX repose sur deux principes clés :

• Sélection des meilleures startups : ils investissent uniquement dans la tech, à 80 % dans le top des startups de Y Combinator (YC), c'est-à-dire celles qui clôturent leur levée de fonds en quelques jours, avant même le Demo Day de YC. Les 20 % restants sont destinés à des startups non YC, qui demeurent toutefois très intéressantes ;
• La dynamique de marché : c'est souvent un critère trop négligé de la part des investisseurs. Ils investissent aux États-Unis, ce pays est le marché avec le plus haut nombre de transactions M&A (mergers & acquisitions ou rachat d’entreprises, en français) du monde, critère absolument incontournable pour maximiser ses chances de sortie, c'est-à-dire que la startup se fasse racheter.

Et pour sélectionner les startups, ils insistent sur deux critères : l’équipe et la traction commerciale.

L’équipe

Ils sont convaincus (et je suis 100 % d’accord) que le facteur numéro un de succès, c’est l’équipe. Ils regardent de près le parcours des fondateurs : ont-ils déjà monté une boîte ? Ont-ils connu des échecs et appris de leurs erreurs ? Ce n’est pas forcément un mauvais signe d’avoir échoué ou d’être passé par une startup qui a elle-même échoué même si on n’a pas fondé cette dernière, au contraire. Par exemple, un entrepreneur qui a connu les erreurs liées à l’hypercroissance comme le fait de recruter trop d’employés trop rapidement en pensant que cela va résoudre les problèmes ne refera sûrement pas la même erreur. Ils analysent aussi leur complémentarité, leur capacité à s’entourer des meilleurs et surtout leur résilience. Parce qu’une startup, c’est un marathon, pas un sprint.

Une traction commerciale

Quand une startup sort du Y Combinator, ce qui intéresse la team InvestorX, c’est : est-ce qu’elle génère déjà du revenu ? Si oui, à quelle vitesse ça grimpe ? Ils regardent le revenu mensuel récurrent (le MRR dans le jargon des startups), la croissance, mais aussi la rétention. Est-ce que les clients restent ? Ils analysent aussi le modèle économique : est-il viable à grande échelle ? Avec un bon ratio CAC (coût d’acquisition client)/LTV (valeur à vie du client) ? Par exemple, si vous devez dépenser 300 € pour obtenir un nouveau client et que ce client vous rapporte seulement 200 € avant de quitter votre produit, il y a un gros problème.

Enfin, ils essaient de se projeter : quels obstacles la boîte va devoir surmonter dans 12 ou 24 mois ? Est-ce qu’elle a un vrai avantage compétitif ou est-ce qu’un concurrent mieux financé peut l’écraser demain ?

Ils ne se contentent donc pas de regarder des pitches et des beaux slides. Ils cherchent des fondateurs solides avec une vraie vision, et des chiffres qui prouvent qu’il y a un marché derrière.

InvestorX est dirigée par des spécialistes en investissement, ayant une forte expérience dans l’investissement dans des startups, dans la banque, la tech et la finance.

Nathan Benchimol – Co-fondateur

• Une première carrière en banque d'investissement/banque privée ;
• Spécialiste français de la token économie (cryptos) ;
• Un portefeuille de plusieurs millions en crypto et startups.

Nathan Benchimol est un entrepreneur et investisseur aguerri spécialisé dans les startups et la blockchain.

Cédric Tempestini – Co-fondateur

• Il a revendu trois startups en tant que fondateur ou investisseur ;
• Business angel dans de nombreuses startups.

Steve Levy – Chief Investment Officer

• Expert en structuration de deals et relations investisseurs ;
• Expérience en private equity et venture capital ;
• Gestion du réseau d’investisseurs et des allocations de capital.

Steve Levy est le point de contact principal des investisseurs au sein d’InvestorX. Grâce à son expérience en private equity, il sait comment optimiser la gestion des fonds et maximiser les chances de succès des investissements.

Steve effectue toujours les premiers appels exploratoires avec les entrepreneurs avant d’investir, puis Nathan et Cédric interviennent. Steve essaie de ne jamais soumettre ses conclusions avant pour ne pas influencer Nathan et Cédric. S’ils tombent tous les trois d’accord sans s’être concertés avant, c’est en général bingo pour la startup. S’ils ne sont pas d’accord, ils discutent, mais c’est Nathan qui tranche au final. Pour discuter avec la team et rejoindre leur club deal, c'est par ici :

En 2024, ils ont réalisé huit investissements, chacun incarnant leur ADN : des jeunes startups qui démarrent (early stage), avec une traction solide (une forte croissance), opérant dans des secteurs technologiques qu’ils comprennent et où ils savent que leur aide peut faire la différence. Leur mission est simple quand ils ont investi dans une startup : accélérer leur croissance et leur ouvrir des portes vers des opportunités majeures pour, in fine, gagner de l’argent.

Comme je le disais dans la première partie, ils ont un accès facilité à des deals exclusifs grâce à leur réseau et à leur crédibilité, ils obtiennent des allocations dans des startups inaccessibles aux investisseurs individuels. Voici quelques exemples parmi ces six startups dans lesquelles ils ont investi : 

Deux des startups du portefeuille vont réaliser une nouvelle levée, ce qui permettra à InvestorX de multiplier par 2,5 leur investissement (non réalisé, donc plus-value théorique bien sûr, car les startups n’ont pas été vendues) en six mois environ sur ces deux startups. Si investir avec la team InvestorX vous intéresse, prenez rendez-vous par ici :

1. Tout d’abord, vous devez souscrire à un abonnement annuel pour participer aux diverses levées de fonds. Ces derniers commencent à 950 € ;
2. Ensuite, selon votre formule, vous pourrez investir entre 2000 € minimum et 50 000 € maximum par deal ;
3. Ces deals sont accessibles sur la plateforme InvestorX. Il vous donne toutes les informations nécessaires à une prise de décision éclairée : le pitch deck et les chiffres des startups, mais également leurs diverses analyses ;
4. Vous vous positionnez sur les deals que vous souhaitez en indiquant combien vous souhaitez investir ;
5. InvestorX valide les diverses intentions pour s’assurer que cela correspond bien au montant qu’ils souhaitent investir ;
6. Vous êtes prévenu par mail quand votre position est validée, il ne vous reste plus qu’à la finaliser sur la plateforme InvestorX via un formulaire et un virement ;
7. Chaque année, InvestorX enverra un rapport pour suivre vos investissements.

Et techniquement, comment ça marche ?

1. InvestorX crée ce qu’on appelle un SPV pour Special Purpose Vehicle. Pour faire simple, c’est une sorte de mini fonds d’investissement qui regroupe plusieurs investisseurs ;
2. C’est ce SPV qui va ensuite investir dans la startup en question. L’objectif est de simplifier la vie de tout le monde et surtout de la startup qui reçoit l’investissement pour éviter d’avoir à gérer des dizaines, voire des centaines d’investisseurs individuels ;
3. Vous êtes actionnaire des startups dans lesquelles vous avez investi au travers du SPV (vous détenez des actions du SPV qui lui-même détient des actions des startups).

Et les frais dans tout ça ? 

Ils sont assez standards, mais relativement plus bas que certains concurrents. InvestorX va prélever 6 % du montant investi pour les frais de structuration afin de couvrir les frais juridiques et de SPV et 20 % des plus-values réalisées (ce qu’on appelle le carried dans le jargon). Cela peut sembler élevé, mais c’est tout à fait courant dans l’industrie et c’est une façon pour les fonds d’aligner leurs intérêts avec les vôtres.

Dans l’univers des investissements dans les startups, InvestorX se démarque de beaucoup d’autres acteurs français grâce à son focus sur le marché américain et notamment sur les meilleures startups issues d’un des meilleurs incubateurs au monde, Y Combinator.

De plus, ce n’est pas pour vous teaser, mais ils sont sur un gros deal avec un autre énorme fonds d’investissement américain que vous connaissez très certainement. Ce nouveau partenariat devrait leur ramener de nombreux deals de qualité exceptionnelle.

Ce focus sur les entreprises américaines permet d’accéder à une potentielle meilleure liquidité, car les reventes de startups sont beaucoup plus courantes aux États-Unis qu’en France.

Mais si vous souhaitez diversifier vos investissements dans des startups, n’hésitez pas à aller voir des startups comme Tudigo et LITA pour des projets à impact ou encore Crowdcube et Caption.

En attendant, si vous voulez investir avec InvestorX, je vous conseille de discuter avec leur équipe directement ici :

Et comme toujours, si vous avez des questions, n’hésitez pas à répondre à ce mail !

Yoann ♥️